1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (8)


    Datte: 12/08/2017, Catégories: Lesbienne

    ... de vraies hanches de femme malgré sa taille encore si fine. Ses fesses, si rondes et lisses, si blanches… ses jambes fuselées… ses petons presque parfaits, sans orteil disgracieux… Mon dieu ! Elle est donc sans défaut ! Elle bouge. Elle se retourne sur le dos. Va-t-elle se réveiller ? Non… Elle grommelle un peu, cherche sa nouvelle position. Elle est à plat dos, les avant-bras repliés de chaque côté de sa tête. Sa cuisse droite légèrement relevée chevauche à peine la gauche. Je vois maintenant la face avant du sillon de son sexe. Sa toison est soigneusement taillée, ses lèvres sont glabres, le triangle pubien épouse la trace du maillot. Elle s’agite encore un peu. Son bras droit vient se poser sur son ventre. Puis il remonte et passe doucement sur ses seins… La coquine se caresse dans ses rêves on dirait ! Mais elle n’en reste pas là ! Son bras descend, atteint son pubis et plonge franchement entre ses cuisses ! Elle murmure quelque chose mais je ne comprends rien. Ses cuisses se sont légèrement écartées. Sa main recouvre toute sa chatte mais ne bouge plus. Son autre bras rejoint sa poitrine. Elle resserre les cuisses sur sa main, un tressaillement la parcourt. « Julia… » Je n’ai pas rêvé ! Elle a prononcé mon nom, toujours dans un murmure endormi. Cette jeune déesse se touche en rêvant de moi ! « Adonis… » Ah, quand même… ça m’aurait étonné qu’il ne soit pas dans le coin celui-là… Eleni fouille sa petite chatte de plus en plus franchement. Sa main gauche malaxe son sein ...
    ... droit. Elle remonte légèrement les cuisses et m’offre une vue plein cadre sur son entrejambe. Ses lèvres sont écartées, ses doigts s’enfoncent dans son con… Elle gémit, parle en grec, répète mon prénom et celui d’Adonis… Mon dieu, c’est sublime cette jeune beauté qui se touche, là, juste devant moi, et qui m’appelle… Je ne peux pas détacher mon regard de ce spectacle. Mon corps non plus ne reste pas insensible. Mon cœur s’est emballé, j’ai le souffle court, la bouche sèche, je sens mon entrejambe palpiter et s’humidifier, mes seins se tendent… « Eleni… ». Je n’ai pu retenir ce soupir... Elle ouvre les yeux ! Elle s’est réveillée ! Elle m’a vu, elle me voit, elle me fixe ! Tout son corps s’est figé. Sa main ne bouge plus du tout. Elle reste interdite, se mord la lèvre inférieure. Moi non plus je ne bouge plus. Nous nous fixons droit dans les yeux. Il y a de la gêne, de la peur, un peu, et, il faut bien l’admettre, du désir… fxufooa Petit à petit, l’inquiétude disparaît de son visage. Elle n’a pas cherché à se couvrir, à se cacher. A aucun moment. Elle s’apaise. Elle ne me quitte toujours pas des yeux et, tout doucement, sa main recommence à s’animer entre ses cuisses. Elle me fixe. Me défie. « Regarde comme je suis belle, comme je suis désirable ! » semble-t-elle me dire. Mais il y a plus. Elle répète à nouveau mon prénom. Son regard se promène sur mon corps nu. Je le sens longuement sur mes seins, mon ventre, mon entrejambe. Elle gémit à nouveau, serre les cuisses, se cabre ...
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