Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (8)
Datte: 12/08/2017,
Catégories:
Lesbienne
... légèrement. Elle jouit. Je meurs d’envie ! Elle est si attirante, là, offerte… Je m’approche, je m’accroupis à ses côtés au pied du lit. Je la détaille. Elle me sourit doucement. Lentement, irrésistiblement, mes lèvres se penchent vers les siennes. Nos corps s’emmêlent. J’ai rejoint Eleni sur sa couche. Nos bouches se cherchent, se repoussent, se dévorent… Nos langues se battent, s’enlacent, se nouent et se dénouent. Ses mains parcourent mon corps. Elle s’agrippe à mon cul, à me faire mal ! Mais non, c’est si bon ! Vas-y ma petite Eleni, prends mon cul ! Tout entier ! Une jambe s’est immiscée entre les miennes et sa cuisse se meut lentement sur ma vulve inondée, tandis que je fais de même sur sa petite chatte luisante. Nos ventres glissent l’un sur l’autre. Sa peau est si douce, si tendre, si fragile… Ses jolis seins se sont gonflés, ses pointes sont à présent bien dressées, petites, dures, elles tressaillent au moindre effleurement. Le duvet de ses bras, de son dos, se dresse à chaque frisson de plaisir parcourant son corps qui s’arque des pieds à la nuque lorsque ses tétons rencontrent les miens ou que ma cuisse excite son petit bouton dressé. Je baise la copine d’Adonis ! Je jouis de me mêler voracement à ce petit corps de femme si parfait, si doux, si sensible, si réactif à toutes mes caresses, mes baisers, mes pressions, mes frôlements, pincements… Ce n’est pas ma première expérience lesbienne, mais c’était il y a si longtemps... étais-je alors si avide de son corps ? ...
... Eleni en revanche, je ne sais pas… elle est tout aussi déchaînée que moi mais elle semble plus hésitante, moins maîtresse des audaces de sa bouche, de ses mains… Mes mains ne quittent plus ses petites fesses si parfaitement galbées, douces, fermes et accueillantes… Je les frôle, les caresse, les pétris, les saisis pleinement. Je les vénère. Sa bouche a quitté la mienne, elle s’abat goulûment sur mon sein droit. Elle le mange ! Une onde de jouissance soudaine me transperce. Tous mes muscles se tendent, je me cambre, soulevant son petit corps si léger. Un cri rauque explose au fond de ma gorge. Je sens son sexe ouvert, qui va et vient avidement sur ma cuisse inondée du jus de sa jouissance. Je reprends mes esprits. Elle continue à me lécher, téter, mordiller le sein droit. Elle aime ma grosse mamelle gonflée de désir. Elle change de côté. Elle est insatiable. De nouvelles ondes de plaisir parcourent nos deux corps. J’en veux plus ! Je veux… sa chatte. Je veux sentir, manger, baiser sa petite chatte de déesse vierge ! Doucement, j’écarte ses jambes. Eleni… Elle s’est ouverte. Offerte. Lentement, je descends entre ses cuisses. Les mains sur ma tête, caressant ma chevelure, elle m’accompagne, respirant avec précaution, attentive à tout mon parcours sur sa peau. J’atteins son triangle magique. Je fouille dans sa toison. Je m’enivre de son odeur de femme, de fille. Cannelle, vanille, santal, épices : divinement sucrée, envoûtante et piquante. Ma langue s’approche de son bouton. « - ...