Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (8)
Datte: 12/08/2017,
Catégories:
Lesbienne
... Je… Julia… Tu… Tu es la première… Là… - Ne t’inquiète pas Eleni… » Dès mon premier lapement à l’extrémité de son petit éperon tendu, elle se cambre et laisse échapper un long soupir… Je descends plus bas. Ma langue et tout mon visage s’enfoncent entre ses chairs humides. Son odeur me pénètre, je sens sur mes papilles sa liqueur poivrée… Je remonte son sillon et surgis à nouveau au sommet de son joli piton tout volcanique qui tremble lorsque je le soumets. A chaque passage je m’enfonce un peu plus bas entre ses cuisses si douces. Bientôt, je découvre l’entrée de la caverne jusqu’ici connue de ses seuls doigts de fée. Ma langue s’attarde sur les contours de ce puits mystérieux. Je lèche, je lape. Je sens les cuisses, les mollets, le ventre de la jeune beauté réagir à mes incursions de plus en plus profondes dans ses chairs intimes. Je dose les stimulations. Je remonte encore, par les flancs de sa faille cette fois. Je parcours le petit sillon de l’aine, de chaque côté, en profitant pour croquer gentiment dans la chair tendre de ses cuisses. Puis, à nouveau, son petit pic, de façon de plus en plus répétée. Enfin, d’un grand élan, je m’enfonce dans sa chatte, projetant ma langue tendue au creux de son con. Eleni se cambre. Elle gémit continuellement. Elle se tend sur ses jambes, se tord, mais mes mains tiennent fermement son bassin. Ses secousses sont de plus en plus violentes mais elle ne parvient pas à me désarçonner. Je relève la tête et la laisse ...
... souffler un peu. Je la regarde, elle me sourit, essoufflée mais l’air heureuse… « Je n’en ai pas encore fini », lui dis-je dans un sourire radieux, comblée de sa félicité. Je replonge. Cette fois, après un nouveau passage en son vestibule, ma langue descend encore, vers sa rondelle serrée. Eleni est surprise, elle serre un peu les fesses, émet un non peu convaincu… et soupire de contentement. Tandis que ma tête s’active entre ses sublimes petites fesses, mes doigts ont pris en charge son clitoris incandescent, son doux sillon et s’aventurent de plus en plus loin dans sa grotte grande ouverte. Je laboure la face antérieure de son fourreau étroit, à la recherche de sa zone la plus sensible. Eleni n’est plus que gémissements, frissons, secousses, cris du ventre explosant dans la gorge. Sa jouissance continue a déclenché un flot abondant entre mes propres cuisses. Elle m’excite ! Elle va venir, je sens la vague gonfler en elle, monter, éclater dans sa poitrine et submerger son âme… Elle tremble de tout son être… se fige… s’écroule. Nous sommes sous la douche. Toutes les deux. Assises. Le dos appuyé contre le mur, je tiens Eleni dans mes bras, entre mes jambes. L’eau coule sur nos corps lavés. De petits baisers tombent continuellement sur mes bras, mes cuisses, dans sa nuque, son dos, ses épaules. Minuscules explosions, bulles d’amour et de bonheur. Après la fusion charnelle, moment de pure tendresse entre femmes. --------------- Prochain chapitre : Flottement