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Les invitations du patron (1)
Datte: 14/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... queue pointait vers le ciel en une courbe harmonieuse. A cause de sa chemise, le curé mit plus de temps. C’était une sorte de strip-tease extraordinaire. Quand ils furent tous à poil, on cria : "les bandeaux, les bandeaux..." Il s’agissait de bander les yeux des femmes pour qu’elles ne puissent rien voir. Ensuite, on faisait défiler devant elles à l’aveuglette les quatre mecs dans un ordre aléatoire et elles devaient voter de 1 à 4 pour celui qui, d’après elle aurait le plus beau sexe. On devait se taire pour ne leur donner aucune indication. Jean-Pierre fut le maître de cérémonie. Il désigna le curé. Avec sa pine bien touffue, je pensais que les femmes n’auraient pas de mal à le reconnaître. Ce fut la comtesse qui commença. Elle leva les mains et dès qu’elle toucha le corps, n’eut aucun mal à se diriger vers le sexe. Elle soupesa les roustons, branla la queue qui débuta une belle ascension. Je me dis qu’il aurait été effectivement dommage de laisser un si beau zob inexploité et qu’il avait mieux à faire que de s’oublier en religion. Puis elle le suça avec application. Le mec se laissait aller. Il commençait déjà à donner des petites coups de reins et à attraper a tête ce qui lui valut un rappel à l’ordre. Dominique filmait avec la caméra et les images s’affichaient en gros plan sur l’écran du fond. Benjamin prenait des photos. Puis l’homme passa à la soubrette, à Marie-Albane, à Olivia et enfin à Lisa. "Allez-y, tendez-les mains". Elle ne bougeait pas. Jean-pierre lui ...
... saisit le bras droit et le porta au burnes. Je bandais comme un âne et tous les types aussi. Je regardai Yvan. Il s’était approché, raide comme un turc. Il ne dit rien. Quand la main toucha les burnes, Lisa la retira vivement. Jean-Pierre la ressaisit de force et la plaqua sur le sexe. "N’ayez -pas peur". Jean-Pierre maintenait sa poigne sur le poignet mais la main ne s’ouvrait pas. Alors le curé, se mit à caresser les seins à travers le tissu de la robe. Les mecs se taisaient. La main s’ouvrit. Elle entama une petite branlette et visiblement elle prit de l’assurance avec l’extrémité de la verge qu’elle décalottait et recalottait lentement. Le curé approcha sa pine de la bouche et l’appliqua sur les lèvres qui ne s’ouvrirent pas d’abord. Alors il fit aller et venir son nœud à droite et à gauche lentement et enfin elle sortit la langue puis ouvrit. Le zob disparut, elle suça, de plus en plus vite puis y mit la main en masturbant. Aux mouvements qu’elle faisait on voyait bien qu’elle n’en était pas à sa première pipe et qu’elle devait régaler souvent son mari. Celui-ci n’en perdait pas une bouchée et s’était encore approché. Il se branlait doucement. Enfin ce fut le tour de ma femme. Elle ne bougeait pas, comme tétanisée. Elle levait la tête comme si elle attendait de l’aide de ma part. Je ne voulais pas intervenir. Je voulais faire comme les autres. J’étais lâche... et excité. Jean-Pierre lui prit la main. Elle le laissa faire comme hypnotisée. Elle ne fit aucune résistance mais la ...