Le séminaire - Partie 3 - Désir intense
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
amour,
pénétratio,
nostalgie,
amourcach,
extraconj,
... de lundi. Mais en réalité mes pensées sont accaparées par ce qui s’est passé la nuit dernière. Mon téléphone vibre, c’est un message de Léa. Elle me demande si tout va bien. Je ne réussis pas à lui cacher mon désarroi, je lui avoue que je m’en veux. Je me suis déçu, j’ai eu la prétention de croire que je pourrais tout contrôler, ne pas succomber mais j’ai été faible. Je viens de basculer dans la catégorie des menteurs, des trompeurs. Si jamais je l’avoue à ma femme ou si elle l’apprend tout sera fini d’une part, mais surtout je lui briserai le cœur sans qu’elle n’ait rien demandé. Je l’ai frappée sans qu’elle ait pu se défendre ou se protéger. Elle qui est si bonne, c’est la dernière personne à mériter cela. Je ne suis pas fier, mais le fait de vider mon sac à Léa m’apaise un peu. Je lui dis que cette nuit aura été la seule, ça doit s’arrêter. Étrangement Léa ne tente pas de me faire changer d’avis et la conversation dérive. Je lui fais part de l’affection que j’ai pour elle. Je ne veux que son bonheur et suis triste de ne pas pouvoir être celui qui la rendra heureuse. Je reste cependant persuadé qu’elle trouvera chaussure à son pied. Je l’incite à s’ouvrir à d’autre rencontres maintenant que je lui ai montré que d’autres hommes que son ex existaient et pouvaient succomber à son charme. Nous commençons à parler plus ouvertement de la nuit dernière et de sexe. Je lui donne des petits secrets sur ce que les hommes aiment par-dessus tout, ce qui les rend fous. De l’attitude ...
... plus entreprenante à avoir aux petits détails (fantasmes, pratiques, positions, façons de faire) tout y passe. Je lui avoue même que mon péché mignon est le ticket de métro, ça me rend fou. L’ambiance est presque amicale et je me sens comme soulagé, j’ai l’impression que le plus dur est fait, que je me suis libéré de cette relation dont le désir, l’attirance et quelques sentiments me retenaient prisonnier. Grave erreur… Le lendemain soir, je suis de retour au gîte. Il y a effervescence, je ne suis pas le seul à intervenir en public demain et plusieurs collègues dont Léa sont venus nous rejoindre pour travailler. Dès le moment où je la vois, mon cœur chavire, mon sang ne fait qu’un tour et les souvenirs de l’autre nuit commencent à remonter. Je me sens faible et esclave de mes pulsions. Léa reste sage, elle me tourne autour, me frôle mais n’entreprend rien. Elle a mis un de ses petits jeans moulant qui lui bombe les fesses… Mon dieu, quel cul ! Je me contrôle, je travaille tantôt dans le salon, tantôt je retourne chercher des documents dans la chambre. Elle m’a donné tellement de plaisir l’autre soir… Concentre-toi ! Au bout de deux heures, j’ai presque fini. Je suis dans ma chambre pour récupérer un cahier lorsqu’elle me rejoint. Elle fait deux pas vers moi et s’arrête à deux centimètres. Je craque, je l’attrape par les hanches, l’attire vers moi et commence à l’embrasser. Elle m’enlace avec ses bras et me rend totalement mon baiser. Nos langues s’engagent dans un combat féroce. ...