1. Dolce Vita 8 - Suite et fin


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, frousses, rousseurs, extracon, alliance, nympho, bizarre, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init,

    ... dernière, mais il n’aborda pas le sujet avec sa belle-mère. — Et vous alors, le patron du bar et son fils sont-ils vos amants officiels ? demanda Balou.— Non, mon cher, vous faites fausse route. Ernesto et moi nous sommes de vieux amis, mais parfois nous nous aimons lubriquement. Quant à son fils, la nuit dernière a été orchestrée par son père, justement, pour le dépuceler. C’est un gamin de vingt ans d’une timidité maladive. J’ai été sa première femme, comprenez-vous ? Balou sourit en se resservant un petit verre de vin. — Hummm, je comprends, oui, vous l’avez initié à l’amour.— On va dire ça. Ernesto, lui, est également veuf. Nous nous retrouvons comme deux jeunes et nous nous aimons passionnément, mais nous restons très libres. C’est pour cela aussi que vous ne devez pas vous attacher à moi. Vous aimez ma fille, alors vivez votre vie. Mais je dois vous dire que vous êtes un amant formidable, j’ai adoré nos échanges de corps à corps. Ceci doit rester notre jardin secret. Voulez-vous ? Balou acquiesça. Il avait passé de superbes vacances jusqu’à présent, et il ne voulait pas gâcher la relation qui l’unissait à Angela. — Vous savez, Bettina, vous êtes une femme délicieuse, et je rends grâce aux cieux d’avoir permis notre rencontre si fusionnelle. Bettina se leva, elle se pencha vers lui. Le regard de Balou se noya dans ses yeux bleus, leurs lèvres se frôlèrent avant de s’entrouvrir. Ils se donnèrent un baiser profondément intense. Bettina tenait le visage de son gendre entre ...
    ... ses mains. Elle s’assit à califourchon sur les cuisses de Balou et continua à lui dévorer la bouche. Ils continuèrent ainsi de longues minutes. Bettina sentait bien l’érection de son gendre, à travers la toile du pantalon, cogner contre le fin morceau de tissu cachant son intimité, mais elle ne tenta aucune autre manœuvre. Elle éloigna même les doigts inquisiteurs de son gendre. Elle le laissa ainsi et reprit sagement sa place sur le canapé. Balou la désirait, mais il n’insista pas. Ils reprirent leur conversation comme si de rien n’était. Plus tard, Angela arriva, en se traînant péniblement dans la cuisine, avant de les rejoindre au salon. — Mais il fait sombre ici ! Pourquoi restez-vous comme ça ? questionna Angela.— D’abord, bonjour ma chérie, lança Bettina. Il fait affreusement chaud à l’extérieur, il faut conserver un peu de fraîcheur dans les pièces.— Hummmm, oui M’man. Angela embrassa Balou et s’assit aux côtés de sa mère. — Nous allons rentrer à Paris, Maman. Enfin, moi du moins. Balou resta interloqué. Un silence pesant les entourait. — Ah bon ? Pourquoi si rapidement ? demanda Balou.— Arrêtez de me jouer la comédie ! J’ai écouté votre conversation, je vous ai vus vous rouler des pelles comme deux adolescents tout à l’heure, alors je me contrefous de vos explications ! hurla Angela. Balou était déconfit, tout s’écroulait autour de lui. — Ma chérie, voyons ! Nous avons fait une bêtise, oui, c’est vrai, mais…— Il n’y a pas de "mais", Balou ! Tu m’as trompée ! Et toi, ...
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