1. Dolce Vita 8 - Suite et fin


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, frousses, rousseurs, extracon, alliance, nympho, bizarre, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init,

    ... : il voulait fuir cette femme, même s’il l’aimait encore. Elle et sa mère étaient folles à lier ! Une sueur froide ruisselait dans son cou. Cependant il ne bougea pas. Il était paralysé par le regard hypnotique d’Angela. Elle rompit le silence. — Je pense qu’une séparation nous ferait le plus grand bien. Nous allons réfléchir chacun de notre côté, d’accord ?— C’est une sage décision, que j’approuve, répondit Balou. Il se leva, pris ses deux sacs de voyage et quitta l’appartement de son amie. Plusieurs semaines passèrent. L’automne avait pris ses aises. Balou travailla d’arrache-pied pour essayer d’oublier ces deux diaboliques femmes. Il n’avait pas revu Angela, ni reçu un seul coup de téléphone de sa part, et ses appels n’avaient rien donné non plus. De plus, aucune femme n’était entrée dans sa vie depuis cinq mois. Il se limitait à des séances masturbatoires, seul au fond de son lit. Il se caressait en pensant à Bettina, mais la saveur du plaisir était fade et sans passion. Il traînait ses guêtres le soir dans son bar irlandais préféré, et tapait la causette avec les habitués. Il y avait bien eu des tentatives de drague par quelques midinettes esseulées, mais Balou préférait rester seul. Le poids des souvenirs était encore trop présent. Pourtant il se rendait bien compte que son comportement le menait dans une impasse et qu’il devait continuer à vivre sa vie avant tout. Un soir, alors qu’il sirotait sa bière, accoudé au bar, on lui tapa sur l’épaule. Il reconnut ...
    ... immédiatement le parfum vanillé de Thierry Mugler. Il se retourna. Angela se tenait devant lui, belle et souriante. Ses bruns et longs cheveux bouclés tombaient en cascade sur son manteau. Elle portait un mignon béret féminin, comme on en voit de nos jours. — Salut ! lança-t-elle.— Bonsoir.— Eh ! Tu pourrais me faire la bise, non ? Balou déposa un chaste baiser sur chacune des joues de son ex. — Tu m’offres un verre ?— Un gin tonic pour Mademoiselle ! dit-il au barman. Balou alluma une cigarette, celle du cow-boy. Il remarqua qu’Angela portait une alliance et il faillit s’étrangler en buvant sa bière. — T’es mariée ? réussit-il à articuler.— Oui, depuis un mois. J’ai rencontré un armateur près de Naples Balou était sans voix. Il restait bêtement assis sur son tabouret, les bras ballants. — C’est pour venir m’humilier que tu viens ici ?— Tu dis des conneries, Balou ! Si je suis venue, c’est pour te parler, car je ne t’ai pas oublié. Balou sentait la moutarde lui monter au nez, mais sa courtoisie légendaire ne l’autorisa pas à renvoyer Angela dans ses 22. — Avec tout le respect que je te dois, ce n’était pas la peine de venir me voir pour m’annoncer une telle nouvelle.— Je m’en rends très bien compte, tu sais, mais je devais te le dire de vive voix. répliqua Angela. De plus, je n’habite plus en France. Balou reprit son self-contrôle, il lui souhaita tout le bonheur possible : — Vis ta vie maintenant, sois heureuse. Ils conversèrent encore quelques minutes par pure politesse. Balou lança un ...
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