1. Dolce Vita 8 - Suite et fin


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, frousses, rousseurs, extracon, alliance, nympho, bizarre, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init,

    ... instants encore. Marie prit son temps encore, et encore, en recommençant à lécher doucement cette verge, pucelle depuis trop longtemps. Puis enfin, elle avala progressivement le sexe de Balou. Lui, il hurla lorsqu’il se vit disparaître dans sa gorge. Il sentit, plus qu’il ne vit, les lèvres de cette étudiante l’aspirer. Maria l’emporta au bord du précipice de bonheur et demanda : — Veux-tu jouir dans ma bouche ou dans mon ventre ?— Je m’en fous… réussit-il à éructer, avant de sentir le poids de Marie sur lui. Sa poitrine voluptueuse, il l’embrassa, la malaxa, pinça les bouts durs. Il était maintenant dans une autre dimension. Marie s’empala sur son menhir. Il vit sa rousse toison l’engloutir interminablement. Marie gloussa et cria de plaisir, un orgasme s’était déclenché en elle à cette simple pénétration. Balou avait les yeux injectés de sang. Il haletait en donnant de violents coups de reins. Il se rendit vite compte que cette jeune Irlandaise avait du tempérament à revendre, car elle menait le bal. C’est elle ...
    ... qui imprimait le rythme, malgré les tentatives de Balou pour accélérer sa cadence. — Tout doux, mon chéri, tout doux, lui susurra-t-elle. Ils ahanèrent de cette manière jusqu’à l’extase salvatrice. Balou griffa les hanches de Marie qui, elle-même, mordit l’épaule de son amant. Balou hurla comme un damné lorsque la jouissance arriva. Il ne savait plus si le plaisir, ou la douleur, ou les deux, le foudroyèrent. Son éjaculation lui parut interminablement longue, il continua de crier et de gémir dans les bras de Marie. Ses seins généreux lui écrasèrent les joues, il les embrassa en se vidant complètement en elle. Marie fut aussi emportée par un violent orgasme, elle mordit l’épaule de son amant, elle sentait qu’il lui griffait les hanches, ce qui décupla encore son plaisir. Son ventre était un brasier qui recevait une lave en fusion si longtemps retenue. Cette impression de dominer et de « dépuceler » un homme expérimenté la rendait folle de bonheur. Elle hoqueta dans un dernier spasme : — Ouiii ! Tu es bon et fort !!! 
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