Dolce Vita 8 - Suite et fin
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
extracon,
alliance,
nympho,
bizarre,
caférestau,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
... billet sur le comptoir et sortit. Angela le rattrapa sur le trottoir. Elle se jeta dans ses bras. Et comme au premier jour, la magie opéra. Ils se donnèrent un long et profond baiser. Un baiser d’adieux, songea Balou. Angela fut la première à quitter leur étreinte, comme à regret. — Adieu, dit-elle. N’attends rien de moi. Elle courut vers la bouche de métro sans se retourner. Balou resta de longs instants, seul sur le bitume. Il commençait à pleuvoir, et il laissa les gouttes nettoyer ses larmes, l’esprit vide, désespéré comme jamais il ne l’avait été. Il s’adossa au mur, s’agrippa à la gouttière, car ses jambes ne le soutenaient plus, il se laissa aller et s’assit à même le sol. Il savait maintenant qu’il ne reverrait plus jamais Angela. Pour la première fois, il se sentit seul au monde, abandonné des siens. Il pleura toutes les larmes de son corps. Les semaines s’écoulèrent lentement. Noël arriva puis la date du réveillon pour la nouvelle année approcha. Balou était toujours célibataire. Il avait bien tenté de draguer la nièce du barman irlandais mais il s’était fait éconduire gentiment. Grande et rousse qu’elle était, cette femme, 23 ans, des taches de rousseur sur son joli minois, une bouche aux lèvres roses et pulpeuses, bref : une Irlandaise pur jus. Bon, certes, il avait gentiment abusé du Paddy - whiskey irlandais incontournable - lorsqu’il l’avait abordée. Marie était étudiante et perfectionnait son français. Elle souhaitait également décrocher un poste dans une ...
... grande entreprise. Les week-ends, elle aidait son oncle. Balou soupçonnait que le chiffre d’affaires de Freddy, le patron, avait subitement augmenté depuis que cette belle rousse se trouvait aux commandes le samedi et le dimanche. Un vendredi soir, Balou s’arrêta chez Freddy pour prendre un verre bien mérité, après sa journée harassante au bureau. Intérieurement, il désirait également voir Marie. Sanglé et cravaté dans son plus beau costume, il s’installa au comptoir et s’assit sur son tabouret, comme à l’accoutumée. — Eh bien dis donc ! Tu nous la joues jeune cadre dynamique, là ? le taquina Freddy.— Je sors de réunion avec la direction, je n’allais tout de même pas y assister en jean et polo ! Les habitués plaisantèrent avec Balou, le temps de vider leur verre et de retrouver leurs pénates. — Mais qu’il est tout beau, notre Balou national, dans son costume ! Balou se retourna et d’abord il crut à une hallucination. Elle brillait, sa chevelure rousse illuminait le bar. Ses yeux verts le dévoraient. Marie était flamboyante, debout, à portée de main. Elle portait une longue robe noire qui mettait en valeur ses hanches et son petit fessier. Des bottes de rockeuse et un blouson noir en cuir complétaient sa tenue. Balou ne put détacher son regard de cette Fée rousse à la peau laiteuse maculée de taches de rousseur. — Monsieur le cadre, tu m’invites à prendre un verre ? dit l’apparition.— Euh, euh, oui, naturellement, bafouilla Balou. Mais ne travailles-tu pas, ce soir ?— Non, cher ...