1. Du monde au balcon


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fdanus, nostalgie,

    ... peu de ces colliers de métal et de pierre, avide de vouloir dévorer ces deux masses si tendres. Tout ceci amuse beaucoup ma tentatrice qui glousse sous mes baisers et mes mains qui farfouillent partout. Et en plus, elle n’a même pas de culotte ! Comment voulez-vous que je reste placide, imperturbable et zen ? — Tu vas arrêter, grand fou ?— Grand fouteur, s’il te plaît !— Ça, je sais : pour foutre du bordel dans mes vêtements, t’es le roi… Bon, arrête maintenant ! Néanmoins je continue un peu mon bordel, comme elle dit. Mais je sens bien que ce n’est pas tout à fait le bon moment. Alors je glisse vers le bas. M’agenouillant, puis passant sous le fin tissu blanc, j’en profite pour baiser son mignon pubis et donner un premier coup de langue dans une belle fente odorante que je trouve néanmoins un peu plus humide que sa propriétaire ne voudrait bien le dire… C’est à regret que je quitte ce petit nid douillet. Reprenant mes esprits, je prends les divers sacs qu’elle a préparés tandis qu’elle se couvre : il serait assez dangereux qu’elle sorte ainsi dans son quartier. Peu après, nous sommes installés dans la voiture. Tandis que je tourne la clé de contact, je demande à ma belle allumeuse de voisine : — Prête pour le week-end ?— J’attends ça depuis ce matin, et même depuis hier.— Très bien : allons-y ! Nous partons de Lille, direction la maison à la campagne. Comme toujours, il y a beaucoup de circulation dans le secteur, surtout un vendredi en fin d’après-midi. Heureusement, nous ...
    ... nous dégageons assez vite du flot. Une fois que c’est devenu plus calme, ma belle Pupucette – qui a ôté son manteau dans la voiture sitôt la ville quittée – pose sa main sur ma cuisse. J’en fais de même, la grosse différence étant que, moi, j’ai droit au contact de sa peau, et que je sais que je peux m’aventurer encore plus haut sans rencontrer un seul bout de tissu. Amusé, tout en caressant amoureusement sa cuisse si fraîche, je lance : — Encore heureux que cette autoroute est séparée par un terre-plein !— Pourquoi tu dis ça, Doudou ?— Imagine un peu les conducteurs qui viendraient d’en face : avec ton décolleté béant et aguicheur, ils iraient droit dans le décor !— Pff, t’es con… Ce qui ne l’empêche pas de pouffer de rire. Je continue : — Par contre, quand on sortira de l’autoroute, je vais éviter de passer par la nationale, par les villages. Je vais plutôt passer par derrière, dans la campagne ; ça sera un peu plus long, mais plus… "sécurisant" pour ceux qui viendront d’en face.— Comme tu veux…— À moins que tu ne veuilles faire étalage de tes splendides charmes durant toute la route, et surtout à tous les feux rouges…— Nan-nan… Passe plutôt par la campagne, c’est plus sûr. Une fois sur le grand rond-point juste après la sortie de l’autoroute je bifurque, puis un peu plus loin, sur un autre rond-point, je m’engage dans une voie plus réduite. Nous zigzaguons ainsi dix minutes, profitant de la verte campagne et du peu de monde que nous croisons. Tout au plus nous croisons un ...
«1234...»