1. Du monde au balcon


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fdanus, nostalgie,

    ... cycliste qui, visiblement, a pu zieuter sans problème le décolleté de ma compagne. Elle et moi, nous en rions. Encore heureux que j’aie une assez bonne mémoire : je ne suis pas sûr qu’un GPS ait dans sa base de données ces diverses petites routes. Il est vrai que, dans mon adolescence, j’ai usé mes pneus à grands coups de pédales dans ce coin. Et si ma mémoire est effectivement bonne, j’approche de l’endroit qui m’intéresse… Bingo ! À la grande surprise de ma compagne, je m’engage dans un tout petit chemin et je m’arrête cinquante mètres plus loin. Tandis que je reprends ma clé de contact, elle me demande : — Tu fais quoi, là ?— Je sors.— Tu as un besoin naturel à satisfaire ?— En quelque sorte… Je sors, puis je viens ouvrir la portière côté passager. Bien qu’intriguée, Véronique sort quand même de la voiture. Je lui prends la main et je l’entraîne un peu plus loin. Je la plaque contre un arbre, l’embrasse fougueusement, puis je commence à mettre un sérieux désordre dans ses divers colliers en couvrant ses seins de mille baisers. Elle rit doucement, assez flattée me semble-t-il. À moins qu’elle ne me trouve un peu grand idiot. Peu importe. — Encore ? murmure-t-elle. Mais elle se laisse faire sans aucun problème, mettant ses doigts dans mes cheveux, me pressant contre elle. Une de mes mains glisse sur sa cuisse ; c’est si bon d’être là… C’est si doux, onctueux ! Puis elle remonte doucement, lentement, pour capturer avidement l’arrondi de sa fesse nue. Savoir que celle qu’on ...
    ... désire est cul nu sous une robe ultralégère n’est pas propice au refroidissement des sens. Le constater de ses doigts est pire encore ! Je n’en peux plus, je n’ai pas trop envie de faire le galant ! Après avoir caressé sa fesse avec délectation, de mon bras je soulève sa cuisse, sans oublier de laisser s’égarer mes doigts à l’orée de sa chatte. Comprenant le message, elle enroule sa jambe autour de moi tandis que nous nous embrassons comme des fous. C’est avec une dextérité que je ne me connaissais pas que j’extirpe mon sexe bien tendu et raide hors de ma braguette. Ce n’est pas la première fois que je suis extrêmement excité, mais là, j’ai franchement l’impression d’avoir hors du pantalon une bite immense prête à éclater ! Et je veux en faire profiter cette allumeuse, entrer en elle, coulisser en elle, exploser en elle ! Sans hésiter, je pointe mon gland contre ses lèvres ; celui-ci s’engouffre sans souci, comme absorbé. Véronique m’aide en projetant son bassin vers moi. Mon évidente envie d’elle lui donne aussi envie. Mon pieu de chair s’enfonce avec facilité dans son vagin déjà bien lubrifié. C’est un plaisir démesuré que d’être dans son antre chaud et humide, à l’image de nos langues qui se cherchent, se caressent. Plaqué contre ma compagne affriolante, mon bras toujours sous sa cuisse, ma main englobant sa fesse ronde, un doigt taquinant son entrée sombre, mon autre main ayant capturé un globe doux et moelleux, je la pistonne frénétiquement à la hussarde, furieusement. ...
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