À vendre
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
fh,
couple,
jardin,
amour,
vengeance,
Oral
mélo,
policier,
amourdura,
... Puis, féline, elle se met à quatre pattes et avance lentement vers lui. Il sait qu’une nouvelle bataille sensuelle et charnelle commence… Nue, elle s’accroupit sur son bas-ventre, les fesses posées sur la tige encore molle de son amant. Celui sent nettement son intérêt remonter. Elle le regarde, les yeux luisant, la bouche gourmande : — Maintenant que tu m’as réveillée, il va falloir assumer jusqu’au bout !— J’ai toujours assumé…— Alors prouve-le ! Et il le lui prouva. De fort belle manière… --ooOoo-- Elle sort de la cuisine, le panier à linge dans les bras. Elle passe à côté de Carol agenouillé dans l’herbe en train de s’occuper des fleurs qui bordent l’impeccable pelouse verte. Elle lance négligemment : — Ah, au fait, quand tu veux un chiffon, évite d’utiliser une chemise neuve…— Euh ?— Oui, tu sais, cette chemise-là… Elle pose le panier dans l’herbe puis lui met quelque chose sous le nez. Il répond : — Ah… celle-là… Elle était abîmée, c’est pour cela que j’ai utilisée. Je croyais l’avoir mise à la poubelle.— Eh bien, non, mon cher, elle traînait dans le garage.— Ah bon ?— Oui, et ça ne te ressemble pas… tout comme cette zébrure sur ta peau, celle en dessous de ton bras…— Ah euh… un rosier… Elle le regarde d’un air étrange, elle attend un peu, puis elle reprend : — Je présume que c’est aussi un rosier qui a coupé ta chemise comme ça ? Au même endroit que cette éraflure ? Il soupire longuement, pivote puis s’assied face à elle. — Que veux-tu que je te dise ?— Simplement la ...
... vérité.— Tu… me croiras ? Elle s’assied à son tour dans l’herbe sans le quitter des yeux. — Pourquoi veux-tu que je ne croie pas ce que tu vas me dire ? J’ai d’ailleurs une petite idée, mais je veux l’apprendre de ta bouche. Avec tes mots. Alors il lui raconte sa visite chez son ex, l’altercation, avant le coup de couteau. — Et après ? demande-t-elle.— Je l’ai senti venir, aidé par son ombre, je me suis jeté sur le côté, mais pas assez vite. Quant à lui, il a filé tout droit vers la vieille cuisinière en fonte, tête première… Il se tait, inquiet. Il se demande quelle sera la réaction de la jeune femme. Alors il attend. Elle le regarde toujours, les yeux dans les yeux, comme cherchant à lire en lui. Les secondes filent. Pour toute réponse, toujours sans le quitter des yeux, elle se relève et dit simplement : — Tu aurais pu m’en parler plus tôt… Vivement, il lui attrape le poignet : — Tu crois que c’est facile à dire ? Et puis, j’avais trop peur… trop peur de te perdre…— De me perdre ?— Oui… de te perdre… À sa grande surprise, Varina lui sourit : — Je sais très bien que tu n’es pas un meurtrier. Je comprends ta position, ce que tu as pu penser, mais j’aurais aimé que tu me le dises sans que je te tire les vers du nez !— Mais… je…— C’est plutôt en ne me disant rien que tu risques de me perdre !— Et… et c’est le… le cas ? Elle se penche sur lui, lui caresse la joue de sa main libre : — Non, pas aujourd’hui, ni demain… Tu veux bien libérer mon poignet, s’il te plaît ?— Ah… euh oui… ...