Les yeux grand ouverts
Datte: 16/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... chaudes dans mon dos, son visage baissé vers moi jusqu’à poser son front contre le mien, ses lèvres sur mes yeux, sur mon nez, mes joues, son nez dans mes cheveux et son souffle à mon oreille. — Tu n’as pas osé ? — J’ai pensé que … tu saurais faire. Tu sauras ? — Mmmm … Il avait trouvé ma bouche, et l’attache du soutien-gorge entre mes seins après avoir tâtonné dans mon dos, a abandonné le baiser à ma bouche pour se baisser, embrasser mes seins au passage et faire glisser sur mes hanches mon joli petit slip, mais ça il ne pouvait pas le voir, et embrasser mon ventre avant de se relever. Il savait faire. Et moi je me laissais faire. Inquiète ? Sur le moment ? Pas du tout ! Je ne pensais absolument pas à ce qu’il pouvait penser de moi à m’offrir à lui comme ça, alors qu’on ne se connaissait que depuis … une heure ? A peine. J’avais envie de lui. Envie de ses mains sur moi. Envie de ses baisers. Envie de faire l’amour. Après ? Après oui, j’étais inquiète. Bien après. Le lendemain. La crainte de ce qu’il pensait de moi est venue après. La peur même … je voulais tellement lui plaire, le garder ! Provocatrice, fille facile, nymphomane, salope … tous les mots que je lui prêtais, parce que je me souvenais bien de ce que moi j’avais en tête la veille, des pensées … moches, ignobles, indignes … j’avais juste tout fait pour me faire un beau mec, parce que j’en avais envie, pour jouer avec lui …Et un handicapé ! J’avais honte d’avoir eu à l’esprit un instant que pour lui l’occasion ...
... était trop belle ! qu’il n’allait pas s’échapper ! Quelle prétentieuse débile d’avoir pensé ça ! Il riait en se redressant, il a dit un truc que j’ai pas compris sur le coup : — Je savais depuis un moment … Je l’ai emmené dans ma chambre en reculant, en tenant ses mains dans les miennes. Son blazer, je l’ai presque arraché de ses épaules et de ses bras. Son polo, soulevé de sous la taille de son pantalon, je l’ai soulevé au-dessus de sa tête. Il riait. Les yeux fermés. J’ai débouclé sa ceinture et baissé la fermeture éclair, me suis mise à genoux devant lui pour lui enlever ses mocassins et ses chaussettes, pour faire glisser son pantalon sous ses pieds. Vite. Précipitée. Sans le toucher. Et puis assise sur les talons je l’ai regardé. Ses jambes musclées, fortes. Etonnée. Un aveugle fait du sport ? Mais comment ? Ses mollets poilus, ses cuisses contractées, son slip de nylon noir. Rassurée ? J’étais pas vraiment inquiète, mais tout de même ! voir son sexe déjà dur couché à l’horizontale sous la ceinture du slip qu’il tendait, oui, ça m’a rassurée, lui aussi éprouvait du désir. La mince ligne de poils qui montait en pointe vers le nombril, ses abdos dessinés, son visage figé … … pouvoir le détailler à loisir, sans son regard, sans me cacher de fixer les yeux sur son corps, c’était … waouh ! J’ai pris mon temps ! Il ne souriait plus. Je voyais sa glotte monter et descendre sur son cou. Lui, inquiet ? Mais de quoi aurait-il dû l’être ? Il était … franchement, un beau mec ! Lui ne ...