1. la vengeance de Sophie (1)


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Hétéro

    Secrétaire dans une administration, je m’épanouissais dans mon travail jusqu’au jour où mon chef de bureau partit à la retraite. Il fut remplacé par la plus ancienne de mes collègues dont la jalousie à mon égard était pathologique. Tout nous différenciait : je n’avais que 34 ans, elle en avait 55 ; j’étais certes petite (1m55) mais dodue (70kg), elle était grande et très maigre ; j’avais des rondeurs très bien proportionnées (100d-70-100), elle était plate et n’avait pas de fesses ; j’avais une crinière abondante de blonde teinte en rousse qui me tombait aux épaules en cascade, elle avait une coupe en brosse très courte de brune ; mon visage de chatte très maquillée aux yeux bleus contrastait avec ses petits yeux noirs, son nez aquilin et ses fines lèvres ; mes tailleurs et robes étaient à l’opposé de ses sempiternels ensembles veste-pantalon, mes talons vertigineux de ses chaussures plates… Bien entendu elle était folle quand les regards masculins de nos collègues s’attardaient sur moi et jamais sur elle. Pourtant j’étais une petite femme mariée qui s’était bien gardée jusque là de profiter de cet avantage dans mes rapports professionnels. J’étais donc devenue son souffre-douleur et je ne comptais plus les brimades qu’elle me faisait subir, attendant son prochain départ du service avec une patience raisonnable. Chaque jour, j’allais déjeuner dans la même brasserie, suffisamment loin de mon travail pour y être tranquille et ne pas subir les conversations professionnelles de ...
    ... mes collègues. Ce mercredi, j’étais vêtue d’une petite robe en coton gris clair boutonnée devant et très serrée à la taille par une large ceinture noire. J’aimais affiner ma taille au moyen de ce genre d’artifice qui, tout en m’amincissant, faisait ressortir mes rondeurs mammaires et fessières. Cela attirait les regards des hommes, chose dont j’éprouvais un besoin constant pour me rassurer sur mon pouvoir de séduction. Mon narcissisme me poussait également à apporter un soin méticuleux dans le choix de mes dessous. Mon choix du jour s’était porté sur un ensemble noir soutien-gorge (dentelle sur satin), string (dentelle devant, satin derrière) sous un porte-jarretelles en satin noir large comme une petite gaine qui avait le pouvoir de m’amincir la taille et de comprimer mon ventre rond. Les jarretelles longues m’arrivaient à mi-cuisses pour tenir des bas fumés avec un léger ourlet plus foncé. Enfin j’avais mis des escarpins très ouverts, noirs à talons très hauts comme toujours qui laissaient découvrir mes ongles vernis d’un rouge carmin assorti à celui de ma bouche. C’est dans cette tenue que j’arrivai dans ma brasserie habituelle pour déjeuner de façon frugale, mon embonpoint m’interdisant tout débordement dans ce domaine. Reçue par le garçon habituel qui plaisanta avec malice comme d’habitude sur mon élégance, je ne trouvai plus qu’une seule table de libre et là je me figeai en découvrant que la table devant moi était occupée par ma chef de service. Mon premier réflexe fut ...
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