1. la vengeance de Sophie (1)


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... J’eus l’impression que l’escalier était interminable : je sentis que le regard suivait le mouvement de mes jambes, de mes cuisses, de mes fesses. Le flot bouillonnait entre mes cuisses gonflant ma vulve qui trempait mon string. Je n’ai pas osé me retourner et me suis rendu le plus vite possible aux toilettes femmes. Adossée au lavabo j’attendis. J’étais inquiète. Allait-il oser venir ? Allait-il me laisser ainsi dans une attente impossible ? La porte s’ouvrit sur lui, je me cambrai la respiration haletante. Il referma soigneusement la porte en mettant le verrou. Ma gorge était sèche… Jamais je n’avais fait l’amour dans les toilettes d’un restaurant surtout avec un homme que je ne connaissais pas. Il posa un doigt sur sa bouche en faisant "chut !" avec un sourire enjôleur déstabilisant et je compris aussitôt que je ne menais plus le jeu, dans l’intimité de ces toilettes. Il s’approcha, je me sentais sa proie et je trouvais cela délicieux. J’en oubliai ma chef, ne pensant plus qu’à ce que j’allais vivre avec cet homme. Il était maintenant tout près. Je sentis son souffle sur mes cheveux car il était beaucoup plus grand que moi. Ses mains vinrent aux boutons de ma robe et habilement il les ouvrit tous. Son regard s’illumina quand il découvrit mes dessous. Mon corps me brûlait. Il se pencha sur moi et sa bouche se colla à la mienne dans un baiser si fort qu’il me souleva du sol. Mon ventre, protégé par le porte-jarretelles, vint à lui, je cherchais à sentir la preuve de son ...
    ... désir. Il ne me refusa pas cette petite vérification en poussant son chibre tendu dans son pantalon contre moi, et je laissai échapper un petit gémissement de satisfaction. Nos bouches s’étreignirent pendant que ses mains descendaient sur mes hanches et me soulevaient pour m’asseoir sur le lavabo. J’étais là robe et cuisses ouvertes, prête pour subir son assaut. Tout mon corps réclamait cette étreinte. Alors sa bouche quitta la mienne pour venir à mon oreille et il me chuchota : — Nous devons hélas faire très vite. Il y a quelque chose pour vous dans ma poche droite. Je ne compris pas mais son sourire insistait, alors j’obéis et découvris la présence d’un préservatif, ce qui me fit sourire. Nos regards confirmèrent cette complicité troublante et pendant qu’il sortait sa queue de son pantalon, je défis l’enveloppe du préservatif délicatement puis le sortis et le dirigeai vers sa queue qui était triomphante de raideur. Il me laissa faire et même se délecta de mon habileté à enfiler le caoutchouc sur sa bite dont je pus, dans la manœuvre, apprécier la dimension fort honorable. Tout se précipita alors. Ses bras m’empoignèrent la taille par-dessus mon porte-jarretelles et il me souleva pour me faire retomber sur sa queue. Très vite, suspendue au-dessus de la mâle menace de chair, il sut me pénétrer d’un coup et s’enfoncer dans ma vulve gluante, m’arrachant un cri qu’il arrêta en m’embrassant fougueusement. Je le recueillis ainsi au fond de mon vagin et il me bascula sur le lavabo pour ...