Hymne à la virilité (4)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
Divers,
... contenta de donner des coups de langue et des baisers bien placés sur son bout rose, ce qui lui procurait malgré tout un plaisir nouveau bien vif. Son pénis le remercia en expulsant encore plus de lubrifiant, dont il avala une partie. C’était un liquide porteur de vie et non un déchet, comme l’urine. Ça ne pouvait donc pas être mauvais. Après plusieurs minutes et de nombreux jets translucides, il sentit la sève monter. N’y tenant plus, il prit son manche à deux mains et l’agita frénétiquement tout en donnant des coups de langue insistants sur son gland. La veine phallique gonfla à son maximum. Le point de non-retour était atteint. L’orgasme arriva. Juste à temps, il goba entièrement les premiers centimètres de queue et se mit à boire tout ce qu’il en sortit. Le goût n’était pas divin mais son instinct lui dictait de le faire, malgré son envie animale d’hurler d’extase. Au bout d’une vingtaine de secondes, il arrêta de compter les giclées qui continuaient à être expulsées au fond de sa gorge. Peu habitué à l’exercice, il recracha une bonne partie et manqua de s’étrangler à plusieurs reprises. Quand l’éruption fut passée, il garda encore un peu son pénis en bouche en le caressant tendrement, comme pour le remercier. Il finit de nettoyer avec sa langue toute la peau qu’il pouvait mettre en bouche, c’est-à-dire le tiers supérieur, puis sortit son membre de cette cache humide et accueillante. Le jeune homme s’affala dans son lit, sur le dos, le menton gluant, le soldat toujours ...
... au garde à vous et l’estomac bien plein. C’est alors qu’une sensation de chaleur se propagea dans tout son corps, pourtant déjà bouillant et en sueur. Ses veines, bien apparentes, s’épaissirent davantage et serpentèrent sur chaque centimètre carré de peau. Son cœur battait à tout rompre. Ne sachant trop ce qui se passait, le jeune homme bascula la tête en arrière, mâchoire crispée, poings serrés sur le matelas, et laissa la transformation s’opérer. Jusqu’à présent, son corps était resté mou et dénué de muscles apparents. Son taux de masse graisseuse se mit alors à fondre comme neige au soleil, sculptant des muscles chétifs mais dessinés. Pour la première fois de sa vie, ses abdominaux apparurent. Le processus continua à tel point que sa peau parut comme très fine et prête à se déchirer. Ses muscles, gorgés de sang et d’hormones, se mirent quant à eux à gonfler. D’abord les biceps, qui surgirent du plat de son bras pour former une belle bosse toute ronde, comme si une balle de tennis s’était glissée sous la peau. Une veine apparut au sommet et se ramifia. Les biceps se remirent à gonfler, accompagnés cette fois par les triceps et les muscles des avant-bras. Ces derniers prirent la forme d’un fer à cheval, tandis que le couple biceps/triceps grossit pour atteindre un solide 39 cm bien sec. Ses épaules gagnèrent en volume, son cou s’élargit et sa voix baissa d’une octave presque aussitôt, sans qu’il ne s’en rende compte sur l’instant. Ses pectoraux se raffermirent puis gonflèrent ...