1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)


    Datte: 18/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... emprisonnant ma main en elle. Malgré tout, j’avais gardé une certaine liberté de mouvement. Elle gémit tout en me mordant légèrement en dessous du gland, ce qui me procura une sensation difficile à décrire. J’allais jouir dans sa bouche en même temps qu’elle allait déguster l’orgasme que mes doigts étaient en train de lui procurer. — Attention, chérie… je vais venir ! crus-je bon de l’avertir, quoique sachant qu’elle n’abandonnerait pas ce qu’elle avait en bouche. Malgré la jouissance qui la submergeait, elle continuait à pomper. Elle pompait tout en gémissant de bonheur et de plaisir. Ne pouvant plus me retenir, je laissai un jet puissant et libérateur sortir de tout mon corps tendu comme une corde d’arbalète. Un autre suivit, puis un troisième. Eva déglutissait et avalait tout. Elle continuait à me pomper tout en aspirant les dernières gouttes du nectar ; elle me vidait littéralement ! Je ne saurais dire combien de temps cela dura, mais vint un moment où elle abandonna ma verge pour se redresser derrière le volant après avoir soigneusement nettoyé de sa langue les dernières molécules de sperme qui subsistaient sur le gland,. — Monsieur a aimé ? me demanda-t-elle en me tendant sa bouche. — Tu es folle ! Nous sommes fous… lui répondis-je en l’embrassant langoureusement. Sa bouche avait encore le goût poivré et salé de mon sperme. Elle voulait le partager avec moi. Lorsque nos lèvres se séparèrent, elle saisit un mouchoir en papier dans le vide-poche de la voiture pour ...
    ... s’essuyer la vulve. — Je suis en nage ! me dit elle. On a eu notre acompte : je pense que l’on va pouvoir tenir jusqu’à la maison… annonça ma compagne en mettant le contact. Cela faisait trois quarts d’heure que nous roulions sur la voie rapide conduisant à Concarneau. Il pleuvait. Malgré la lumière des phares au xénon, on ne voyait plus très bien les lignes blanches censées partager la chaussée. Eva conduisait vite et bien, respectant le Code de la route. Elle mit son clignotant, ralentit et prit la bretelle de sortie. Cinq kilomètres nous séparaient encore de notre point d’arrivée. Nous étions arrêtés à un feu rouge. Sur notre gauche se dressait la citadelle. Les balais des essuie-glaces allaient de leurs va-et-vient monotone. Au vert, nous allions nous diriger à gauche pour prendre la ruelle qui nous mènerait à la poterne d’accès à la ville médiévale intra muros. Malgré l’excellente suspension de la berline haut de gamme, on sentait les roues tressauter sur les pavés plus que centenaires qui revêtaient encore la rue principale. On passa la poterne équipée d’un pont-levis qui n’était plus en service. À droite, la résidence de l’ancien gouverneur de la citadelle. La voiture roulait au pas dans la rue principale que bordaient de chaque côté des maisons à colombages transformées en boutiques qui brillaient dans la lueur blafarde que devait diffuser un lumignon ou une lampe à pétrole. Eva actionna le clignotant sur sa gauche et peu après s’engouffra au pas dans une ruelle si étroite ...
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