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Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)
Datte: 18/01/2019, Catégories: Hétéro
... profond divan en peau de buffle qui sentait le « made in Kenya » à plein nez, situé dans un salon attenant à la cuisine et la chambre à coucher. Cette pièce n’avait rien de commun avec les autres pièces en déco médiévale, bien au contraire : un mélange de classique, de confortable et de XXème siècle. Il faisait bon. Eva avait blotti sa tête au creux de mon épaule. J’avais passé le bras gauche sur son épaule, et d’elle-même ma main avait trouvé son chemin sous le kimono de soie pour aller se saisir d’un sein qui ne demandait que cela. Mes doigts rencontrèrent rapidement le dur bourgeon du mamelon qui semblait demander l’aumône d’un baiser, de se faire engloutir par deux lèvres affamées ou d’être mordillé tendrement par des incisives de carnassier. Eva avait posé sa main gauche sur ma cuisse et l’avait insérée dans l’échancrure de mon peignoir ; sa chaleur était agréable et je sentais mon sexe changer de géométrie et de volume, jusqu’au moment où il se trouva délicatement emprisonné pardeux doigts qui allèrent s’enrouler sur la corolle juste en dessous du gland. Je n’allais pas tarder à ronronner comme un matou repu et jouissant du bien-être de la situation, surtout que les autres doigts de la main féminine vinrent s’enrouler autour de la hampe. Ma main droite pris la liberté de passer sous le kimono de soie blanche ; je caressai sa cuisse douce jusqu’à remonter vers son entrejambe : tout était trempé et visqueux. Je passai un doigt entre ses grandes lèvres lubrifiées comme ...
... pour m’inviter à aller encore plus avant, à passer la barrière éphémère des petites lèvres. Je le remontai un peu ; je sentis Eva m’enserrer la verge beaucoup plus fort et se mettre à trembler de tout son corps lorsque ma première phalange rencontra la tête de sa framboise. Tout était baigné dans la cyprine. Mon sexe bandait de plus en plus dans cette main qui alternait les caresses et les pressions. — Viens, allons dans la chambre ; on sera mieux qu’ici. Sans dire un seul mot, on se leva du divan qui gardait encore l’empreinte de nos deux corps chauds, enfiévrés par l’envie. Eva me conduisit par la main au fond du salon en direction d’une lourde porte de bois de chêne. Nous tenant toujours par la main, nous nous retrouvâmes dans la chambre à coucher. À première vue, je n’aperçus qu’un grand lit médiéval surmonté d’un baldaquin, et au fond de la pièce une cheminée dans laquelle semblaient se consumer des bûches artificielles. Une douce chaleur y régnait. Eva se débarrassa de son kimono qu’elle laissa choir sur le parquet ciré. De ses deux mains fébriles elle dénoua la ceinture de ma sortie de bain ; d’un mouvement d’épaules, il alla rejoindre le kimono sur le sol. Nous étions proches du lit où je poussai mon amante. Comprenant mes intentions, elle se laissa tomber sur le dos, les jambes pendantes. Mon regard oscillait entre les deux demi melons qui lui servaient de seins et le début de la fente de son sexe que ses cuisses fermées m’autorisaient à voir. Je m’agenouillai sur la ...