1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)


    Datte: 18/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... tienne profondément dans sa bouche. Je remarquai qu’elle avait retenu sa respiration, comme si elle se jetait en apnée dans la mer. Elle me tenait les fesses et aspirait mon sexe avec toute la force que ses joues lui permettait. J’explosai dans sa bouche en plusieurs jets. Malgré qu’elle ne possédât pas de pomme d’Adam comme nous, les hommes, je la vis clairement déglutir ce que ma libido lui régalait. Les yeux fermés, elle avalait tout ; et quand je me fus vidé, elle se mit à nettoyer ma verge de tout vestige de l’éruption. Elle garda mon sexe dans sa bouche aussi longtemps qu’il resta en érection. Elle suçait, elle léchait, croyant sans doute qu’elle allait le ressusciter ; mais non : le matin, ma verge était plus difficile à fonctionner, et je ne connaissais personne qui ait réussi à la faire rebander aussitôt après avoir éjaculé et s’être transformée en coquillette. Eva se redressa ; me prenant par les mains, elle m’attira à elle, me forçant ainsi à me lever du lit. Elle plaqua sa bouche sur la mienne en ouvrant ses lèvres pour laisser passer sa langue. Je ne résistai pas ; je n’avais aucune envie de résister. J’ouvris moi aussi mes lèvres pour permettre à nos bouches de communiquer dans un baiser doux, sensuel, au goût de sperme et tendre à la fois. À travers de sa chemise de pilote, je sentais la fermeté de ses seins contre ma poitrine. Quelques instants plus tard elle me dit : — File vite dans la salle bain prendre ta douche ; je mets en route la cafetière et je viens ...
    ... te frotter le dos. — Tu crois que cela va être prudent, dans ton uniforme ? — Un uniforme, ça s’enlève… Allez, file vite, sinon je te viole ! Je me relaxais sous le jet de la douche ; l’eau qui coulait sur mon corps me donnait une sensation de régénérescence. C’était bon. Je regardais les carreaux de faïence, profitant de ce bien-être lorsque je sentis deux mains se poser sur mes épaules : Eva était derrière moi, totalement nue, tenant dans sa main un filet de nylon qu’elle avait enduit de mon gel douche posé depuis la veille sur l’étagère. Je ressentis le bien-être du frottement qui descendait jusqu’en bas de mon dos, s’insinuant dans la raie de mes fesses, puis ce fut une main qui prit sa place, un ongle caressant la corolle de mon rectum. Elle avait plaqué ses seins contre mon dos et profitait du glissement que procurait le gel douche pour me masser avec. C’était bon, c’était doux, et je recommençais à bander comme un âne. Elle vint en face de moi afin de m’encercler la nuque de ses bras, et après avoir levé une jambe, elle plaça mon sexe entre ses cuisses tout contre le sien. Elle m’embrassait dans le cou tout en ondulant du bassin. Je sentais qu’elle mouillait car ma verge glissait facilement entre ses grandes lèvres. — Viens, prends-moi une dernière fois avant de partir. Me prenant par la main, elle me guida vers la cuvette des WC sur laquelle elle se pencha en écartant suffisamment les jambes pour me montrer son abricot ouvert. Comprenant l’invitation, je m’approchai ...