Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... d’elle et positionnai mon gland contre sa vulve ; mais sans me laisser le choix d’une initiative, elle recula son bassin d’un seul coup, m’engloutissant totalement en elle. — Laisse-moi faire ! C’est moi qui pilote. En effet, son bassin se mouvait de façon à faire des va-et-vient sur ma bite, entamant de temps en temps un mouvement circulaire « à la tahitienne ». C’était effarant tellement je la sentais bien. Chaque fois que ses fesses venaient buter contre mon pubis, j’entendais un claquement et je sentais mon gland buter en fin de course. Puis elle passa sa main droite entre ses jambes, se saisit de ma verge qui venait de sortir et la dirigea d’elle-même vers son anus. La maintenant fermement contre lui, elle me dit simplement : — Vas-y. Pousse. Je poussai. Après une sensible résistance, j’entrai dans son rectum. D’un mouvement des fesses venant à ma rencontre, elle s’empala toute seule. Je fis un mouvement pour la baiser ainsi. — Vas-y, chéri, baise moi… Oh oui,encule-moi bien à fond ! Fais-moi jouir, fais-moi crier, mon amour… Oui, défonce-moi ! C’est bon… J’allais et venais de plus en plus vite dans son rectum. C’était chaud, c’était bon. Je glissais en elle comme si elle s’était enduite de gel intime. Je la tenais par les hanches et la pilonnais de plus en plus fort. Ses fesses claquaient contre mon ventre. — Ouiiiiii ! Va plus vite, plus fort… Je t’aime… Ça y est, je viens, mon chéri… Tu me fais jouir… Ouiii, remplis-moi ! Moi aussi, je venais pour la deuxième fois ...
... en l’espace d’une heure. Je me sentais me vider au sens propre comme au figuré : je me vidais de ma semence dans les reins de mon amante qui me vidait à son tour de mes forces. Je restai en elle aussi longtemps que mon sexe me le permit et, lorsqu’il perdit de sa superbe, en se contractant Eva m’expulsa en accompagnant ma sortie du sperme qui ne voulait pas rester en elle. Nous passâmes à nouveau sous la douche afin de nous requinquer de la gymnastique matutinale, nous savonnant pudiquement mutuellement, nous passant le pommeau de douche pour nous rincer, puis le drap de bain passa de main en main pour bien nous sécher sans oublier le moindre recoin, le moindre méandre de nos corps. Au petit déjeuner, nous décidâmes que je n’allais pas attendre son retour : je partirais pour Hambourg ce jour même. Je dois reconnaître qu’elle ne le prit pas de gaîté de cœur, mais après de belles promesses de Gascon on prit la route ensemble, dans sa voiture. Arrivés à Brest, je me rendis compte qu’il n’y aurait ce jour-là aucun vol pour Hambourg. Au bureau de la Lufthansa, on me proposa un vol pour Francfort mais avec une escale de plusieurs heures à Orly, puis un vol intérieur pour la ville hanséatique où j’habitais. Mon retour allait durer plus de huit heures alors qu’il ne m’avait fallu que trois heures pour venir sauter ma collègue. Mais qu’est ce que l’on peut être con, tout de même, lorsqu’on se laisse guider par sa zigounette ! Je ne revis plus jamais Eva. Quelques coups de téléphone ...