1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)


    Datte: 18/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... arrondies par l’usure des siècles reposait une grande table de chêne massif ciré qu’entouraient huit chaises aux dossiers hauts et ajourés comme les artisans du Moyen-Âge savaient si bien le faire. Je restais bouche bée, éberlué de me trouver dans cette salle des chevaliers de la Table Ronde, me croyant réellement dans une salle d’un château fort du temps du Roi Arthur et m’attendant à chaque instant à voir apparaître la reine Genièvre ; mais en guise de Genièvre, j’avais Eva qui se collait à moi dans mos dos. Ses bras entouraient ma poitrine et sa bouche affamée vint se plaquer sur ma nuque. Je sentais sa langue venir titiller le lobe de mes oreilles. Sa main était posée sur mon pubis et essayait de passer sous ma ceinture. J’étais de nouveau en pleine érection, et cette main tiède qui descendait sur mon ventre, ces doigts qui s’enroulaient autour de ma verge, ce n’était pas fait pour me calmer ! C’était torride, comme ce feu artificiel qui brûlait dans la cheminée. Eva se rendit compte de l’effet qu’elle me faisait. — Hum… c’est agréable ce que je ressens là dans ma main, me souffla ma compagne dans l’oreille en donnant à sa main un mouvement de haut en bas. Sous l’action de sa main libre, ma ceinture rendit grâce, puis ce fut le tour de la fermeture à glissière de ma braguette. Mon pantalon tomba sur mes chevilles. Je m’en débarrassai de deux coups de pied, l’envoyant balader un peu plus loin. Je me retournai. Eva était face à moi. Elle me poussa en arrière tout en ...
    ... continuant à me caresser et à m’embrasser. Mes fesses rencontrèrent quelque chose de dur, de froid. — Assieds-toi sur la table et laisse-toi faire, mon chéri… Elle resta devant moi en me regardant dans les yeux, avec un sourire coquin sur sa bouche. Elle lâcha mon sexe et recula de deux pas. Je me redressais afin de me déchausser ; j’en profitai pour enlever ma veste. La cravate ainsi que la chemise allèrent la rejoindre sur le dossier de la chaise la plus proche. J’étais tout nu, à poil, à regarder ma compagne qui venait de se défaire de son chemisier et qui était devant moi, comme une déesse grecque vivante, seulement vêtue de sa jupe et d’un soutien-gorge qui soutenait ses seins seulement par le dessous. Il me rappelait lesbüstenhalters que portaient les Bavaroises pour faire ressortir leurs seins de leur décolleté très échancré lorsqu’elles étaient vêtues de leur habit traditionnel, letracht. Elle passa ses bras derrière son dos et le soutien-gorge alla rejoindre le chemisier sur un coin de la table à ma gauche. Par Toutatis ! Qu’elle était belle ! Ses seins se dressaient devant moi comme deux demi melons dardant leur opercule brun. Il était certain qu’ils n’avaient pas besoin d’implants de silicone, ceux là… Comment avais-je pu les oublier ? Je lançai mes deux mains pour les saisir. Eva recula. — Chut !… Pas le droit de bouger : ici, c’est moi la châtelaine, et toi tu es mon roi revenant de très loin après une trop longue absence. Je suis la fée du lac, et en même temps la ...
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