Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... Encore ? m’étonnai-je. — Ouiiiiii… Chéri ! Ouiiiiii… Mon Dieu, je suis en train de me vider… je décolle ! Viens, toi aussi ! Viens…. — J’essaie ! J’avais beau la pistonner comme une bielle de machine à vapeur, je n’atteignis pas la jouissance, mais j’étais heureux ; heureux que ma compagne eût put monter à l’altitude suprême. Mon sexe se rendit avec honneur, non pas en levant les couleurs mais en sortant de sa grotte d’amour en semi érection, statut qui ne lui permettait plus de jouer au tambour major. Nous sommes restés là, debout l’un contre l’autre, moi la retenant par les seins emprisonnés dans mes mains, et elle reprenant sa respiration, plaquant ses fesses contre mon bas-ventre. — Va te reposer un peu sur le divan du salon pendant que je nous prépare le dîner. Ensuite, si tu as envie, on pourra faire un tour dans la vieille ville ; mais… peut être as-tu une meilleure idée ? — Et si on passait une soirée tranquille, ici dans ton château ? — Je suis partante ; j’aimerais même, si tu te sens en forme, que… — Que quoi ? — Rien. On verra ça dans la soirée comme ça se présentera. La soirée se passa simplement, dans la cuisine elle aussi toute moderne, mais grande tout de même. Eva se démenait pour préparer notre repas, faisant la navette entre le réfrigérateur et le plan de travail en bois de chêne. De temps en temps elle s’arrêtait à mon niveau pour me déposer un « smack » sur les lèvres ou sur la nuque. Depuis que nous étions sortis de la salle de bain, elle déambulait nue ...
... dans cette cuisine, les pieds également nus, ne portant qu’un court tablier noué dans son dos afin de se protéger d’éventuelles éclaboussures d’huile chaude. Revêtu d’une simple sortie de bain en tissu éponge bleu marine, j’étais assis sur l’un des hauts tabourets accolés au comptoir de la cuisine américaine, sirotant un cocktail frais sans alcool de vitamines exotiques. Nous prîmes notre repas du soir dans la grande salle médiévale, chacun à une extrémité de la table. Eva nous avait préparé un plateau de fruits de mer où se côtoyaient huîtres, moules, bulots, araignées et crevettes de toutes tailles. Ne buvant pas d’alcool, j’avais opté pour un grand verre de citron vert pressé, adouci de sirop d’érable ; Eva s’était autorisé un verre de bon vieux muscadet du pays nantais. Ne sachant pas trop comment orienter la conversation, ce fut ma compagne qui me posa la question que tous deux repoussions par lâcheté, ou pour ne pas rompre cet instant merveilleux. — Comment vois-tu la suite, chéri ? — C’est difficile, ma puce… Toi, tu es ici à Concarneau, travaillant en France, et moi à Hambourg, bossant en Allemagne. Nous n’avons ni toi ni moi aucune assurance que nos compagnies nous garderont sur le même circuit, les mêmes jours… C’est hyper compliqué ! — Cette question n’a pas arrêté de me tourmenter l’esprit. En plus, à mon arrivée j’ai appris que l’on prévoyait de me changer d’équipage pour me mettre sur undouble trois-deux* sur la route des Antilles après une formation d’un mois à ...