1. Amours culottés (2)


    Datte: 13/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... accepter de venir avec moi à Berlin. — Bien sûr, que je le peux ! Mais pas maintenant ! Aujourd’hui, Brice ne peut pas vivre seul en résidence étudiante où ailleurs. Ça reviendrait à lui faire sacrifier ses études et ses ambitions, mais il va grandir, mûrir et dans deux ou trois ans, qui sait, il pourra se débrouiller et je pourrai plaquer mon travail pour te rejoindre. Si tu dois vivre là-bas, tu prendras sans doute un appartement, non ? Alors on viendra te voir le week-end et pendant les vacances. Tu pourras nous payer l’avion sans problème… — Oui, mais ce n’est ça pas la question… Si je pars habiter à Berlin, tu vas rester seule ? — Oh non, je ne serais pas seule. Je continuerai à m’occuper de Brice comme je l’ai toujours fait depuis 18 ans, mais bon, va au fond de ta pensée, je sens que ça devient intéressant. — Et bien… tu… tu pourrais être tentée et je n’ai pas envie de te perdre. — Alors, petit « a », c’est toi qui seras seul et pas moi, petit « b » c’est toi qui vivras dans une grande ville pleine de tentations et, petit « c », moi non plus, je n’ai pas envie de te perdre. Je pourrais rajouter en petit « d » : tant que Brice sera sous ce toit, il te ressemble tellement, que je pourrais survivre en attendant de te retrouver. — Évidemment, vu comme il bande pour toi, Ça ne devrait pas être trop difficile. — Quoi ?! Gabriel tu es abjecte ! Je suis sa mère… Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? OK ! Je le laisse tranquille avec ça et ça ne te plait pas, mais ...
    ... pour qu’il se passe quelque chose, il faudrait qu’on soit deux à en avoir envie et, merci ! Mais jusqu’à aujourd’hui, en matière d’homme et de bite, je suis servie. En plus, vu comme tu me fais l’amour pendant la semaine, tu ne ferais rien que ce ne serait pas pire, au contraire ! Le petit coup du samedi serait simplement bien venu. Je n’arrive pas à croire que tu puisses être jaloux de ton fils… Parce que c’est bien ça, n’est-ce pas ? Tu es jaloux. — Brice bande pour toi, c’est une évidence, et il ne fait aucun doute qu’il est très bien membré… — Pourquoi ? T’es allé voir ? Et ça changerait quoi ? Il a une grosse bite et je vais me jeter dessus ? Que se soit mon fils où non ? Qu’est-ce que tu me fais Gabriel ? Tu ne vas pas me dire que tu es complexé, en plus ?! Je n’ai jamais vu la bite de Brice, mais la tienne, je la connais. Ça fait plus de vingt ans qu’elle me satisfait pleinement et elle n’est pas petite. Elle est… Elle est… Elle est normale. — Si, elle est un peu en dessous de la moyenne, je le sais, et lui, en plus, il a du sperme… Du vrai, du fertile et, je ne sais pas pourquoi, mais, depuis quelques mois, c’est devenu important pour toi. Tu regrettes que je n’en aie plus. — Bon ! Admettons ! Admettons que je sois une femme frustrée, doublée d’une mère indigne et dénuée de morale. Oh oui, j’oubliais, avide de sperme aussi… Tu sais, de bon foutre bien blanc, bien épais et un peu salé… Et mariée à un homme stérile. Alors, qu’est ce que je peux bien faire ? Moi, pauvre ...
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