1. Amours culottés (2)


    Datte: 13/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ici. — Non, bien sûr, j’aimerais être à Paris… — À se moment là, je ne resterai pas toute seule dans ce trou et je retournerai vivre auprès de ton père, à Berlin. En attendant, on se verra comme on peut, autant que l’on peut. Ça ne sera pas facile, mais on n’a pas vraiment le choix et de lui en vouloir n’arrange rien. La dernière semaine, Brice se montra très tendre avec son père et retrouva le goût de vivre. Sa libido se réveilla et les petites culottes de Line disparurent chaque soir de la panière à linge. Ses rêves incestueux avaient ressurgi aussi forts qu’avant et il réalisa que ce qui était exceptionnel allait devenir son quotidien. Il pourrait, tous les jours, comme lors du dernier voyage de son père, raconter à sa mère, ce à quoi il pense en se masturbant, aller prendre une de ses culottes sales sans le cacher, se laisser porter par ses fantasmes et venir lui montrer, après comme il avait bien juté dedans. Line le traiterait de petit cochon en le félicitant d’éjaculer autant et remmènerait elle-même le sous-vêtement souillé au sale en prétendant aller lécher son foutre. Brice n’y croyait pas et pensait que c’était une sorte de blague ou de jeu qu’elle avait inventé cette fois là, mais ça l’excitait. Il pourrait peut-être, aussi, comme il l’avait fait une fois, se masturber au travers de son pyjama en regardant un film avec elle dans le canapé. Son cerveau bouillonnait en pensant à tous ces plaisirs interdits ...
    ... auxquels il se livrerait une fois seul avec sa mère. Line s’efforçait de ne pas trop penser à ce que deviendrait sa vie de femme célibataire excitée par un fils viril. Comme Gabriel avait pris trois jours pour préparer ses affaires, elle en avait fait autant et se donnait à lui sans limite pour chasser ses fantasmes. Son mari n’avait plus jamais fait d’allusion à son complexe de petite bite et ne se montrait plus jaloux de son fils, mais elle se demandait s’il l’imaginait encore dans les bras de Brice. Elle n’osa, bien évidemment pas lui poser la question, mais elle pensa avoir sa réponse quand Gabriel dit en revoir à son fils le samedi matin. — Je te confie ta Maman, mon Garçon. Prends soin d’elle ; elle va avoir besoin de ta compagnie. — Tu peux compter sur moi, Papa… Répondit Brice surpris par cette injonction. Mais on te rejoint vendredi prochain et j’ai hâte de découvrir notre appartement berlinois. — Il te plaira, c’est sûr. Gabriel serra fort sa femme dans ses bras, ils versèrent tous deux une petite larme, s’embrassèrent avec passion. Brice s’écarta pour leur laisser un peu d’intimité ; il était aussi ému qu’eux et n’entendit pas ce qu’ils se chuchotèrent. — Cochon, tu penses encore que je vais coucher avec Brice… — Je ne le pense pas, je l’espère… Même si c’est aussi inconcevable qu’immoral. — Tu es un grand malade, mais je t’aime, mon Amour… Allez ! Fous le camp, maintenant ; tu vas louper ton train et ton avion. 
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