Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (4)
Datte: 13/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Chapitre 4 : La dernière journée Je me levai tôt, impatient. C’était notre dernière journée de vacance, et j’avais envie qu’elle soit la plus longue possible ; surtout vu ce qui était au programme. C’était stupide dans un sens : pour commencer, il fallait d’abord que tout le monde soit là. Je priai que personne ne fasse la grasse mat’. Si seulement nous avions pensé à convenir d’une heure fixe. On était vraiment con. Je pris rapidement une douche, un petit dej’, et me pointa à l’appart de Julie. Par chance, elle était déjà debout, excitée comme une puce. J’étais arrivé le premier, ils nous restaient plus qu’à attendre. Par chance, ce ne fut pas très long. Tout le monde avait vraiment hâte de démarrer. Deux jours qu’on se retenait. Après avoir passé plus d’une semaine à ne faire que baiser tout le temps, le moins qu’on puisse dire, c’est que nous étions sacrément en manque. Ce n’était cependant pas une raison pour être trop pressé. On avait la journée entière. Une journée entière de sexe et de plaisir. Julie nous emmena dans la chambre. Nous commençâmes les préliminaires sans tarder. Nous la caressâmes, l’embrassâmes, lui touchâmes les parties sensibles. On avait faim de son corps, et elle avait faim de nous. Nos mains baladeuses la firent gémir. Nous la déshabillâmes lentement, comme des adolescents découvrant pour la première fois la nudité d’une femme. Je suçai un des mamelons de sa généreuse poitrine après lui avoir ôté son soutien-gorge ; Steve s’occupa de l’autre et la ...
... tétai comme un bébé. Julie se mordit les lèvres quand des doigts glissèrent sous sa culotte et s’enfoncèrent dans son vagin déjà trempée. Nous l’allongeâmes sur le lit, et Jean entreprit de lui lécher la chatte. Elle ferma les yeux et se laissa imprégnée par le plaisir. Elle avait un sourire d’ange. Heureuse d’être le centre de l’attention de trois hommes désireux de lui faire l’amour. — Hmm, les garçons, fit-elle. Vous êtes si mignon, mais j’ai envie de queues moi. Donnez-moi vos bites. Nous nous déshabillâmes à notre tour et sortîmes nos chibres de nos pantalons. Julie les fixa d’un air envieux. Elle nous branla, Steve et moi, avant de me sucer avec passion. Jean souleva sa croupe et s’enfonça en elle pour la baiser. Il était doux et affectueux. Nos échangeâmes sa place chacun à notre tour. Lorsque ce fut le mien, j’en profitai pour lui peloter les seins et lui bouffer les tétons. Ses nibards me faisaient tellement rêver. Elle émit un gémissement malgré qu’elle avait la bouche remplie. Elle pompait mes amis comme une reine, passant de l’un à l’autre pour ne pas faire de jaloux. Elle les branlait et leur léchait le gland en prenant bien soin de leur montrer le travail de sa langue. Elle était délicieusement érotique. Il était temps de passer à des choses plus sérieuses. Steve lui humidifia son petit trou, et l’invita à le chevaucher. Elle s’installa au dessus de lui, une jambe de chaque côté, et empoigna sa queue lubrifiée de salive et de mouille pour le diriger vers son cul. ...