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Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (4)
Datte: 13/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... Il l’aida à s’enfoncer doucement en la maintenant par les hanches, puis elle commença à s’empaler toute seule sur lui. Il la laissa se donner du plaisir, montant et descendant sur sa bite. Jean et moi profitâmes du spectacle. Elle était si belle quand elle était coquine. — Oh putain ! Oui ! fit-elle. J’aime tellement avoir une bite dans le cul ! C’est tellement bon ! Elle s’éclatait comme une folle ; comme si elle avait désespérément besoin de se faire enculée. Ses seins ballotant me narguaient, et je cédai à l’envie de les soupeser et de les presser. Je pris une nouvelle fois ses tétons en bouche, puis l’embrassa. Jean se mit debout sur le lit et lui présenta son dard pour se faire suçer. Je l’imitai avide d’une nouvelle fellation. Elle s’occupa merveilleusement de nous. Nous étions au comble du bonheur. — Les garçons, j’ai la chatte en feu, nous dit-elle en s’arrêtant un instant. S’il vous plait, que l’un d’entre vous vienne me la remplir ! Je me dévouai. Je vins entre ses cuisses et les soulevai pour mieux pénétrer son vagin. Nous la prîmes ainsi en double pour son plus grand bonheur, la fouillant avec nos bites Elle commençait à s’habituer à la chose, mais cela lui procurait manifestement toujours autant de plaisir. Mon excitation devint telle que je ne pus plus me retenir de la baiser plus fermement. Steve s’excita aussi avec ferveur dans son cul. Je vis Julie en perdre la tête : — Aaah ! Se faire ramoner par deux mâles, il n’y a que ça de vrai ! — Tu aimes, petite ...
... salope ? lui dis-je. — J’adore ! Bourrez-moi comme votre pute ! Jean l’empêcha de continuer de parler en s’enfonçant dans sa bouche. Lui aussi était devenu plus brutal en lui maintenant la tête pour la forcer à lui faire une gorge-profonde. Il la relâcha pour lui permettre de reprendre un peu d’air. Elle respira un grand coup la bouche ouverte, puis elle rechercha instinctivement sa bite du bout de la langue. — Ah ! Putain ! Salope ! T’en as jamais assez, hein ? déclara Jean tandis qu’elle était déjà en train de lui sucer le gland. Nous nous laissâmes à notre plaisir et à notre luxure, baisant cette chienne comme notre sac à foutre. Notre traitement ne tarda pas à la faire jouir une première fois : — Aaaaah ! Putaiiiiin ! Salauuuuuds ! Ouiiiiii ! Sa lubricité n’avait pas fini de m’étonner. Jean et moi échangèrent nos places. Il la lima comme un véritable animal. J’aurais fais pareil si j’avais dû me contenter que de pipes comme lui pendant aussi longtemps. Nous n’avions pas baisé ni joui depuis deux jours. Nous étions en manque comme jamais, et savions que nous allions passer toute la journée ici sans sortir de cette chambre. Autrement dit, aucun d’entre nous n’avait envie de se retenir. Nous avions simplement envie de baiser et d’éjaculer dans cette pute qui nous servait de vide-couilles. C’est ainsi que Steve explosa en premier et grogna en lui remplissant les intestins de grosses giclées de sperme. — Aaaah ! Putain ! Saloope ! Prends mon fouuuuutre ! Cela déclencha chez elle un ...