1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (4)


    Datte: 13/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ne dites pas que vous avez déjà fini. J’ai encore besoin de me faire sauter moi. Steve et moi, qui rebandions déjà, nous levâmes pour s’occuper de cette salope insatiable. Nous la soulevâmes et la prirent debout en la portant tous les deux. J’eus enfin la chance de pouvoir gouter à son cul et l’enculai avec délectation. Nous en fîmes notre prisonnière, coincée entre nos deux corps, incapable de nous résister. Nous nous servîmes du sien pour nous faire du bien comme avec une poupée de chair. Nous avions faim d’elle, et elle se nourrissait de notre besoin féral. Plus on était brutal, plus elle nous encourageait à la prendre plus fort : — Aaah ! Putain ! Ravagez-moi les garçons ! Je suis affamée de vos bites ! Il m’en faut dans tous mes trous ! — On va te ramoner tes orifices jusqu’à ce que tu nous demande grâce, sale putain ! — Ramonez-moi et j’en demanderais encore et encore ! J’en veux toujours plus ! Prenez-moi plus fort ! Cette grosse pute savait comment nous exciter. Ca me faisait un peu bizarre de baiser son anus en sachant que deux hommes avaient déjà joui dedans. Je sentais le foutre de mes amis lubrifier mon dard, mais j’étais trop excité pour trouver ça dégueulasse. Nous changeâmes de positions et de trous plusieurs fois. À un moment, elle réclama quelque chose à sucer, et je lui enfournai ma bite imprégnée de nos jus respectif dans sa gorge. Elle le gouta comme si c’était la plus délicieuse des sucettes. Steve éjacula dans sa chatte. J’espérai enfin l’avoir pour ...
    ... moi tout seul quand Jean vint le remplacer, le sexe bandé à nouveau. J’étais écœuré. Je lui fourrai la chatte pleine de foutre en missionnaire tandis qu’elle le suçait. J’espérais que Jean jouisse vite avant que Steve ne récupère, mais me retenir devenait difficile. Je décidai de me finir. Je la pris de toutes mes forces comme un animal en rut jusqu’à me laisser éjaculer dans son vagin. Cette délivrance, c’était trop bon. Mon esprit devint blanc. J’étais dans un autre univers. Je me foutais que Steve avait déjà joui dedans. J’avais envie de la remplir de litre de sperme et de la faire déborder. Une fois mes esprits repris, j’allais me reposer un peu, totalement épuisé. J’eus mal au cœur en réalisant que je laissai ainsi Jean encore seul avec elle. Par chance, cela ne dura pas longtemps. Steve vint la rejoindre, et ils la prirent en double à nouveau. Ce petit manège dura ainsi pendant plus d’une heure : nous la baisions, nous éjaculions quand on en avait envie, et nous nous relayions pour ne lui laisser aucun répit. Julie, elle, nous suppliait de continuer. Je crois qu’elle n’avait jamais autant joui. On lui donnait ce qu’elle voulait : se faire sans cesse ravager par trois hommes qui l’utilisaient comme un jouet. Elle vivait son fantasme le plus pervers. Celui qu’elle n’avait jamais osé prononcer tout haut, et elle en appréciait chaque secondes. Elle était comblée. — Aaah oui ! Prenez-moi à tour de rôle ! Je suis une pute qui passe de main en main ! Baisez-moi et jouissez en ...
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