1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (4)


    Datte: 13/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... moi ! Je ne sais plus combien de fois nous avons éjaculé en elle. Dans son cul, dans sa chatte, et même dans sa bouche. Tout ce que je sais, c’est quelle n’en avait jamais assez. À la fin, elle n’avait presque plus de force pour bouger, mais elle nous exhortait à continuer. Nous la prîmes, comme une poupée offerte. Nous nous fîmes plaisir avec et on se vida à l’intérieur. Sans gêne, sans honte, rien que du bonheur Il arriva bien une occasion où je l’eus pour moi tout seul. J’en profitai un maximum. Je la baisai, je l’enculai, lui fit changer de position encore et encore, et jouai avec ses seins qui me faisait fantasmer. — Encore ! Encore ! Prends-moi encore ! criait-elle. Elle avait toujours mon jus sur le visage qui commençait à sécher. Quand je n’en puis plus, je lui ordonnai de me prendre dans sa bouche, et éclatai dedans. Elle avala mon sperme sans broncher. Puis ce qui devait arriver arriva : il eut un moment où nous avions tous les trois besoin de récupérer, et où il n’y avait plus personne pour s’occuper d’elle. Nous étions complètement mous, vidés. Elle n’en émit aucune plainte. Elle avait aussi besoin de se reposer un peu. Nous fîmes alors une pause salvatrice. Je la regardai ébahis. Ses orifices étaient béants à force de se faire remplir. Je me demandais s’ils ne se refermeraient jamais. Ils dégoulinaient de sperme. Il avait des traces partout sur le lit. Elle se releva et marcha vers la cuisine. Nue, souillée, sans se soucier du foutre qui coulait le long de ...
    ... ses jambes. Nous la suivîmes, et prirent un petit casse-croute. Aucun de nous se rhabilla, ni n’alla prendre de douche pour se débarbouiller un peu. À quoi bon ? Nous allions nous resalir d’ici peu. Silencieux, nous échangeâmes des sourires et des regards. La pause dura tout de même plus d’une heure et demie. Plus qu’assez pour nous remettre d’aplomb. Le coup d’envoi de la seconde mi-temps fut sifflé lorsque Julie fit son allumeuse en se caressant puis en goutant le jus dont elle était remplie. Cela nous fit rebander aussitôt, et nous la baisâmes sur le champ. Nous ne prîmes même pas la peine de retourner dans la chambre. Nous la sautâmes là, dans la cuisine. Nous nous l’échangeâmes comme une pute au rabais. L’un la prit violemment par derrière sur la table. Un autre la plaqua face au mur et l’encula. Le dernier s’assit sur une chaise et la força à s’empaler sur sa bite. Nous baisâmes et jouîmes sans retenue. Surtout elle. J’envie de la souiller un peu plus, et lui jutai sur les seins. Cela l’excita et elle demanda aux autres de faire pareil : — Ma chatte et mon cul sont pleins, mes chéris. Jouissez-sur moi. Recouvrez-moi de sperme ! Je veux être toute poisseuse et collante de votre foutre adoré. Ils l’écoutèrent, et au lieu de se lâcher dans ses trous, ils lui éjaculèrent dessus. Elle avait vraiment l’air d’une pute qui s’était tapé un troupeau entier de mâles en rut. Elle dégoulinait de partout. Le visage, le ventre et les seins. Elle avait même dans les cheveux. J’avais ...
«12...456...10»