Le dégel
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
extraoffre,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
... repères. — Pour l’instant on ne te demande pas de dire si tu reconnais, dit Anaïs qui se déclare maîtresse de ce jeu qui l’inspire. Tous trois – en effet, Anaïs participe, et ce n’est pas le moins excitant – nous aidons la robe à tomber. La culotte n’est plus qu’un souvenir, mais reste le soutien-gorge. Comme la robe, il est l’excuse à ce que nos mains caressent le corps de ma femme, qui ne semble pas y trouver à redire. Elle aurait bien tort. Nous, les hommes, sommes aussi spectateurs de délicats attouchements de notre organisatrice. — À partir de maintenant, tu diras qui tu penses être l’auteur de ce qui va venir. Mais nous ne confirmerons ou n’infirmerons pas. Ce serait trop facile de savoir, car si ce n’est pas ton mari, c’est ton amant. Notre esclave aux yeux bandés attend. Les premières vraies caresses commencent. Les seins et les tétons sont notre premier objectif. Alban commence. Il caresse. Il suce. Il tord. Il aspire… Qu’importe l’auteur, la femelle réagit. Il cesse. Elle est déçue. Je la comprends : nous la stoppons en plein vol. Elle se dépêche de dire un nom pour vite qu’un autre vienne. Mais le suivant, ce n’est pas moi : c’est Anaïs. Anaïs qui nous fait une démonstration de son savoir-faire. La coquine sait y faire, et je mettrais ma main au feu que ce n’est pas une première fois. La douceur, puis la rudesse. Le sein cajolé, léché, le téton aspiré entre ses lèvres, et puis deux mains qui pressent les lobes pour en extraire le téton et le mordiller ou le tordre. ...
... Ma femme gémit, et si lorsqu’elle annonce que son bienfaiteur ce n’est pas moi, je n’en suis pas vexé. On la pousse sur le canapé. Notre guide me propose la gorge, et j’y engloutis ma queue pendant qu’Alban plonge sa tête entre les cuisses. Pendant de longues secondes je lui baise la gorge et son amant lui suce le minou. Puis nous inversons. Je trouve sa chatte humide. S’y mêlent le foutre que son amant a abandonné dans le cul et qui a coulé, et la salive de celui qui précède. Encore de longues secondes, et chacun apprécie. Et puis Anaïs nous chasse. Elle nous fait signe de nous asseoir de chaque côté de notre Vénus. Elle saisit une main de Valériane et la guide sur la queue d’Alban. Je vais faire de même pour l’autre main, mais d’un geste elle me l’interdit. Alors c’est elle maintenant qui va entre les cuisses de son amie. C’est elle qui continue nos caresses trop interrompues par notre changement. Valériane gémit. Son ventre ondule. Elle cherche la bouche, elle mendie la langue, elle supplie les lèvres, et sa jouissance arrive. C’est à cet instant qu’Anaïs me fait signe de guider la main sur mon sexe. Une main qui s’en empare, qui le presse, qui lui transmet un véritable torrent de plaisir. La jouissance est longue ; la suceuse ne semble pas vouloir s’arrêter. Un voyeur aurait la vision d’une femme que l’on lutine et qui tient dans chacune de ses mains une queue bien raide comme on tient une dame de barque pour ne pas chavirer. Valériane met un certain temps pour reprendre ...