Un Maître asservi (3)
Datte: 21/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... d’être prêt à tout assumer ainsi en public. En plus la cage et le verrou dans le cul étaient bien présents pour m’humilier davantage. Demain j’irais acheter un coupe boulon, mais d’ici là il me fallait rentrer et affronter Isabelle. J’hésitais sur la marche à suivre. Mais tout lui dire serait sans doute trop risqué, elle était fragile et ne comprendrait pas. Mais revenir tout tendre n’était pas non plus une option avec la cage et mon cul cadenassé ainsi. J’improviserai, elle croyait toujours tout ce que je lui disais, et je lui dirais que je suis simplement malade, et que j’ai besoin de dormir. Il était temps de quitter le palace. Impossible de prendre un taxi avec ce que j’avais entre les fesses, je marchais jusqu’à la maison, en ayant récupéré la cagoule pour ne pas la laisser traîner dans la chambre. J’avais remarqué que mon inconnue de la nuit avait tout embarqué. Pas de message téléphonique non plus d’elle qui n’ignorait pas que mes mails étaient inaccessibles, peut-être qu’elle était dans le même état, épuisée et vidée, et était d’accord pour mettre un stop. Mon état apaisé au réveil s’était nettement détérioré, je ne savais plus quoi penser. Le temps de faire le chemin de retour et je n’étais plus si certain de moi. Ni d’être prêt à ce que cette soirée soit dévoilée à Isabelle ou d’autres personnes, ni finalement d’être prêt à renoncer à ce que j’avais pu entrevoir. L’excitation n’avait finalement pas été aboutie, j’avais à nouveau une envie de jouissance folle et je ...
... me sentais prêt à tout. La fatigue aidant, mon érection était continue, douloureuse avec les pointes de discipline, me gênant pour marcher. Je craignais que mon sexe saigne à être ainsi martyrisé dans sa cage. Pourtant rien que cette image m’excitait, j’étais complètement dingue ! J’arrivais à la maison dans une totale incertitude et une interrogation grandissante quant à mon cul cadenassé : j’étais de moins en moins certain de pouvoir m’en sortir seul et je n’avais aucun plan en tête. Isabelle descendit l’escalier pour venir à ma rencontre. Elle était sublime et ce n’était pas mon état d’épuisement qui me trompait. Sa jupe en cuir lui arrivait au-dessus du genou tandis que ses bottes noires à talons aiguilles métalliques magnifiaient ses jambes gainées de noir. Je me fis la réflexion qu’il faisait assez chaud pour ne pas en porter, mais que c’était ainsi magnifique. Elle portait un simple pull à même la peau, sans soutien-gorge, moulant étroitement sa maintenant grosse poitrine, et je devinais aisément ses tétons qui pointaient toujours facilement. Son visage était indéchiffrable, calme, je la trouvais sublime et le lui dit. Le compliment sonna dans le vide. « Alors où étais-tu ? C’est quoi cette idée de partir sur un coup de tête ? Elle s’assit dans notre canapé blanc et je posais délicatement une fesse sur le fauteuil en face terrorisé à l’idée de m’estropier. - Ecoute n’en parlons plus, j’étais énervé, j’avais besoin d’air. - Cela fait longtemps que je ne te sens plus, tu ...