1. Un Maître asservi (3)


    Datte: 21/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... as rencontré quelqu’un ? - Mais non ma chérie, bien-sur que non. Tout va bien, je t’aime plus que tout - Alors pourquoi tu ne me dis pas la vérité ? - Il n’y a rien à dire, c’est pour cela. Tu veux bien qu’on ne s’engueule pas ? Je me sens malade, je crois que je vais aller me coucher. - Oui tu as une mine affreuse » Je regarde Isabelle, elle a l’air furieuse. Où est donc le moineau que j’ai accueilli initialement ? Ce n’est vraiment pas le moment de me prendre la tête. Je me lève et passe à côté d’elle pour monter dans notre chambre, quand, d’un mouvement rapide, elle agrippe mes couilles au travers de mn pantalon en toile, les serre en me tenant fermement. Je hurle de surprise et de douleur, tétanisé. « C’est cela ta maladie ? Son regard est noir, je vacille, elle met une tension vers le bas et je suis obligé de suivre et de me retrouver à genoux à côté d’elle. Je ne sais pas quoi dire, la douleur est atroce, mes couilles sont si sensibles. Tu n’as rien à dire ? Tu reviens avec une cage de chasteté et je ne sais quoi d’autre et tu n’as rien à dire ? Et dans ton petit sac que vais-je découvrir ? Je baisse la tête, humilié par ma propre soumise. -Ce n’est pas ce que tu crois… -Au contraire je suis certaine que c’est ce que je crois. Putain ! Tu parles d’un Maître. Tu es une petite lopette qui est allée se faire taper dessus. Et tu penses revenir et que je vais être bien obéissante ? Alors tu es une petite pédale soumise ? Isabelle est hors d’elle, la rage qui l’habite depuis ...
    ... des jours et des jours la rend violente et terrifiante, elle est enfin en face de moi à pouvoir exprimer tout son mépris -Attends, pitié s’il te plaît, je vais tout te dire, mais lâche-moi » Isabelle, curieuse, relâche son étreinte. M’ordonne de me déshabiller, ce que je fais dans une honte indicible. Son ton ne mérite pas discussion et je n’ai qu’une idée c’est l’apaiser. Qu’elle découvre mon sexe encagé et blessé par les pointes de discipline, mon cul fermé, et surtout toutes les marques et trainées de sang me rend rouge et m’humilie pire que jamais. Inconscient mon sexe tente, en vain de se redresser. Pas de doute l’humiliation extrême m’excite. Je me fais encore plus honte. Elle ne dit pas un mot, renforçant mon malaise. Je croise son regard méprisant, je baisse les yeux. Ma confiance au réveil n’est plus qu’un lointain souvenir. Le seul avantage de la situation c’est que ma tortionnaire ne peut plus me dévoiler à Isabelle puisque c’est fait. Elle me dit qu’elle veut tout savoir et depuis le début, et qu’elle saura si je lui mens et me le fera payer cher. Elle reprend dans ses mains mes couilles, je n’ose me défendre, et je tremble de peur. J’ai déjà tellement mal. Mes couilles naturellement grosses, sont maintenant gonflées comme des baudruches et ont une teinte noire des plus inquiétantes. Je ne compte plus avoir de progéniture, mais cela ne manque pas de m’inquiéter quand même. De toute façon je suis bien trop mal pour réfléchir à un quelconque mensonge et comme elle ...
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