Le visiteur
Datte: 22/01/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
fsoumise,
Partouze / Groupe
ecriv_f,
Toutes les nuits, depuis quinze jours, il est là. En fait, il a commencé à me visiter après que Bruno et moi nous ayons rompu. Pour venir, il attend toujours que je dorme. Quand je me couche, je suis seule et, dans la nuit, il est là, à mes côtés. Je ne sais pas comment il fait, ni par où il passe. Il n’a pas la clé mais il entre comme s’il était chez lui pour repartir comme il est venu, avant que je ne me réveille. Le but de ses visites est évident : il vient pour me toucher, jouer avec mon corps, me procurer du plaisir et je lui donne satisfaction à chaque fois. Je le laisse faire, j’aime ! J’ai dit qu’il venait toutes les nuits, ce n’est pas tout à fait juste, deux nuits, sans raison, il n’est pas venu et lorsqu’il a daigné reparaître, il ne s’est même pas excusé. Pas un mot, rien. C’est comme la fois où, il y a trois jours, il est venu avec son copain. Pas une explication. Comme si tout cela était normal, naturel, comme s’il en avait le droit, comme s’il avait des droits sur moi, sur ma vie… Mais il faudrait, peut-être, que je commence par le début sinon je risque de perdre le fil de mon récit, de ne plus être cohérente, crédible. Donc, Bruno et moi nous nous sommes séparés. Après deux années de vie commune, l’usure nous a conduits tout droit à cette situation. Ça, plus le fait que je l’aie trouvé, rentrant à la maison plus tôt que prévu, au lit avec ma meilleure amie. À croire que les amies les plus chères ne servent qu’à piquer le mec de leur plus proche copine… Ce ...
... sont les cris de plaisir qui m’ont attirée dans la chambre où je les ai surpris. Elle le chevauchait avec régularité, criant à chaque fois qu’elle s’empalait sur lui. Je les ai fait sortir de ma vie sans même leur laisser le temps de se rhabiller. Ils ont dû le faire dans les escaliers ou sortir nus… De toute façon, je m’en fous ! Pendant la période qui a suivi, j’ai été comme folle, folle de chagrin. Je me suis repliée sur ma solitude, parlant seule, ne sortant que par nécessité, évitant les gens. J’ai même été très malade, j’ai fait un séjour à l’hôpital… Enfin, je crois… Tout est tellement confus dans ma tête depuis ce moment là… Et puis une nuit, mon visiteur est venu. Il s’est glissé dans le lit à côté de moi, me communiquant sa chaleur. Je ne me suis pas défendue, au contraire, heureuse du contact de mon corps avec ce corps d’homme, de la langueur qui m’a engourdi les membres et l’esprit, sans appréhension ni répulsion. Quant au bout d’un long moment, ses mains se sont glissées sous mon tee-shirt, je n’ai même pas eu de recul, au contraire, j’attendais cet instant, le souhaitais de toutes mes fibres. À la limite, étonnée qu’il ait attendu tout ce temps. Il a commencé par mes seins, les soupesant, les palpant, éprouvant la douceur de ma peau, son élasticité. Longuement, il les a caressés jusqu’à ce qu’ils deviennent gonflés, les mamelons durcis aussi gros que des framboises. Il les a malaxés sous ses paumes pour ensuite les faire rouler entre le pouce et l’index puis, pour ...