Le visiteur
Datte: 22/01/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
fsoumise,
Partouze / Groupe
ecriv_f,
... tous ses caprices pour mon plus grand plaisir. Mais depuis notre rencontre, Dieu que les journées me paraissent longues ! Cette nuit encore a été extraordinaire. J’ai enfin osé poser la main sur lui. Il a apprécié, c’était palpable. Dans ma main son membre était dur. J’ai presque joui rien qu’en le touchant. C’était excitant au possible. Chaque nuit apporte de plus en plus à notre relation et je crois que je l’aime. En tout cas, j’ai de plus en plus envie de lui, besoin de lui. Il a su révéler de la meilleure façon ma sensualité et de ce fait je suis disposée à accéder à tous ses désirs, à toutes ses demandes formulées ou non. Je me sens comme droguée, en totale dépendance et cet état me convient. Les deux nuits suivantes, il a été fougueux tout en conservant sa douceur. J’ai répondu avec spontanéité à ses élans. Je me suis montrée lascive, inventive, louve, courtisane avec une joie perverse. Je me suis donnée entièrement à lui, vraiment donnée. Je lui ai offert ma bouche, mon sexe, même mes fesses. Il les a possédés avec entrain et satisfaction. J’ai lu dans son regard la fierté de me découvrir à la fois aussi soumise et aussi complice. Le matin venu, je ressens de plus en plus un sentiment d’abandon et à chaque fois la frustration de ne pas le trouver à côté de moi à mon réveil. Où va-t-il quand il me quitte ? Que fait-il de ses journées ? Je me sens maintenant totalement libérée à son égard. Finie la timidité et la retenue du début. J’ai la même audace vis à vis de lui que ...
... lui avec moi. Cette libération me permet d’atteindre des sommets de jouissance insoupçonnés jusqu’alors. Seule ombre au tableau, je me sens épuisée, à la limite de mes forces. Des cernes foncés soulignent mes yeux et j’ai perdu du poids. Visiblement mon entourage a perçu ce changement et j’ai droit chaque matin à des questions sur mon état de santé. Cette compassion m’emmerde ! Je fais ce que je veux de ma vie et n’ai de comptes à rendre à personne ! Pendant deux nuits, il n’est pas venu. J’ai vécu pendant les deux jours des instants affreux de doutes, de soupçons, endossant spontanément la responsabilité de son absence. Pourtant j’avais vraiment l’impression d’avoir fait tout ce qu’il fallait pour son plaisir, son bien-être. Où me suis-je trompée ? Peut-être est-il fâché des examens médicaux auxquels j’ai bien été forcée de me soumettre sous la pression de mon entourage ? La troisième nuit a vu son retour près de moi. Cette fois, il est venu avec un de ses copains. Nous nous sommes retrouvés à trois dans le même lit, moi entre eux. Pas un mot d’excuse de sa part, juste glissée à mon oreille la demande d’être gentille aussi avec son copain. Tellement heureuse de l’avoir retrouvé, je lui ai donné mon accord. Tout vaut mieux que la solitude et l’abandon. Il a ajouté, tout en m’embrassant dans le cou, que ça le rendrait heureux et l’attacherait encore plus à moi. Je n’avais pas besoin qu’il me le dise, dépendante de lui comme je le suis. Je ne lui ai rien répondu, me contentant ...