Le visiteur
Datte: 22/01/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
fsoumise,
Partouze / Groupe
ecriv_f,
... finir, les étirer comme s’il voulait les arracher de leur implantation. Cela a duré longtemps, comme s’il n’était venu que pour me donner du plaisir grâce à ma poitrine. Il y est parvenu, j’ai eu un orgasme. C’était bien le premier auquel j’accédais par des caresses, si longues fussent-elles, sur mes seins. J’ai découvert à cette occasion cette possibilité qui m’a laissée surprise, à la limite de l’incrédulité. Mais je peux garantir que ça a bien eu lieu et que les sensations que j’en ai tirées ont été extraordinaires. Il a, après m’avoir laissé un temps de récupération, repris son exploration dessinant des arabesques de ses doigts sur mon ventre, mes hanches, mes cuisses et mon bas-ventre. Ma toison l’a retenu un moment. Il a joué avec elle, glissant les doigts dans ma pilosité, la peignant doucement. Sensation rare empreinte de nouveauté car aucun de mes partenaires n’avait, jusqu’à présent pris le temps de s’y arrêter. Oh, bien sûr, il ne s’en est pas tenu là ! D’un doigt léger, il a prospecté ma fente humide d’excitation. Pour lui faciliter les choses, j’ai écarté les jambes, me livrant ainsi sans réserve. Aucun recoin ne lui a échappé, ses doigts se sont insinués partout traçant tous les contours, toute la géographie de ce territoire délaissé depuis peu. Ses investigations ont été lentes, méticuleuses me procurant des sensations voluptueuses insoupçonnées. Non pas que je sois vierge, loin de là, mais plus habituée à des possessions fougueuses qu’à une telle lenteur, ...
... une telle douceur, une telle écoute de mes réactions. J’ai, grâce à ses attentions, accédé plusieurs fois à des plaisirs intenses qui m’ont laissée repue, sans force, le cœur battant à tout rompre dans ma poitrine, l’entrejambes ruisselant comme jamais. Au matin, quand je me suis réveillée, il était parti mais impossible de douter de sa visite. Mon sexe était encore trempé et par endroits mes poils pubiens étaient collés entre eux par le fruit de mon plaisir nocturne. Toute la journée, j’ai revécu par la pensée ma nuit passée et me suis installée avec la patience d’une chatte dans l’attente du moment où il serait de nouveau près de moi. Je me suis couchée tôt et en prévision de sa visite me suis vêtue –ou devrais-je dire dévêtue- d’une adorable nuisette qui ne cache rien, ou si peu, qu’elle est, de mon point de vue, propre à intéresser un homme en lui procurant quelques fantasmes supplémentaires. Comme la veille, il est venu. Il s’est montré doux, attentionné, attentif, tendre au point de me rendre fondante. Cette fois, il m’a fait l’amour, tirant de mon corps des sensations extrêmes, m’amenant à la plénitude tant intellectuelle que physique. Seule ombre au tableau, je n’ai pas osé, bien qu’en ayant très envie, le toucher, le caresser. Par contre, je le laisse jouer avec mon corps comme il le souhaite. J’en tire de telles sensations que j’aurais mauvaise grâce à m’en plaindre ou à lui interdire quoi que ce soit. Je suis maintenant totalement dépendante de lui, prête à céder à ...