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Chroniques immortelles (2)
Datte: 22/01/2019, Catégories: Trash,
... ? — Bonjour. — Bonjour. T’es qui toi ? — Juste une amie. Tu veux bien qu’on parle un peu ? — Oui… De quoi ? Soudain j’entends une voix, une voix dans ma tète, une voix bien connue. imfikkst « C’est bien Christine, prends le contrôle de son esprit » C’est Kostia qui me parle ! Je me concentre, la prend sous mon contrôle comme il me l’a appris. « A présent, fouille sa mémoire. Recherche tous les souvenirs de ses traumatismes » Je m’exécute. Oh mon Dieu ! Je découvre tout ce qu’elle a subi. J’en ai les larmes aux yeux… « Et à présent, pense simplement que ces souvenirs soient effacés ...» Mireille est parcourue d’un frisson. Elle émerge brutalement de sa torpeur, comme si elle s’éveillait d’un mauvais rêve. — Oh ? J’ai eu comme un étourdissement… Comment tu t’appelles ? — … Mireille. — Comme moi ? — Oui comme toi, dis-je en souriant. Elle me sourie largement. — Tu me pousses ? Nous quittons la maison laissant les parents médusés. Il sont sous le coup de découvrir ce qu’il est arrivé à leur fille, mais plus encore de ...
... découvrir que celle-ci a tout oublié de ses épreuves grâce à une technique d’hypnose toute récente que maîtrise à merveille l « la jeune stagiaire » ! Mireille rigole, s’amuse, joue avec le chat de la maison. Elle ne gardera aucun souvenir de ses épreuves. Le seul risque est que quelqu’un se demande comment la petite pouvait se trouver à la fois au collège du Cheval Blanc et à Marseille pour un check-up médical ! Mais il y a fort à parier que l’essentiel des conversations roulera sur l’arrestation du prof de maths et sa mise en examen. Et les langues se délieront… Je pense à tout çà depuis la fenêtre de mon appartement. Je pense à ce lavage de cerveau que j’ai fait à la petite. Évidement, je sais que ce n’est pas moi, que c’est Kostia qui m’a prêté ses pouvoirs pour accomplir ce geste. Et je le remercie du fond du cœur pour Mireille. Merci Monsieur Kostia, merci à toi grand Zeus. Et sa voix se fait à nouveau entendre dan ma tète. « Il n’y a pas de quoi Christine. Tu fais exactement ce que j’attendais de toi. Continue. A bientôt »