1. Promo


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Anal Mature,

    Je n'ai jamais été autant heureuse et épanouie qu'en cette époque oùj'obtins la reconnaissance de mes pairs et l'assurance que mes enfantspussent voler de leurs propres ailes. Mon mari lui-même ne constituaitplus un obstacle. Il avait été convenu en effet qu'il profitaentièrement de ses maîtresses. J'en tirais moi même avantage de m'amuserde mon côté. Passé cinquante ans nombre de couples pour peu qu'ilsn'aient divorcé, sacrifient à ce genre d’accommodements. Trop d'intérêtsen effet nous liaient : patrimoniaux, financiers. Divorcer eût crée unpataquès.Je ne m'en crus pas moins autorisé à prendre le large et plus deliberté. Mon dernier amant plus jeune de vingt ans m'avait convaincu dupotentiel de ma beauté. Le terme : couguar ne me blessait pas.J'assumais mon goût pour les jeunes gens beaux et virils. Tout allaitsouvent très vite. Au premier regard un homme pouvait mesurer que jen'avais pas froid aux yeux. Mon accoutrement ensuite lui signalait assezla garce que j'étais. Je portais souvent robe courte, bas, bottes ouescarpins. Le maquillage rehaussait mon teint blanc et ma chevelure brune.Je draguais ouvertement un homme. Il ne lui suffisait que de valider queje lui plaisais. La suite relevait du simple détail. Ainsi obtenait-ilqu'il fut sucé dans des toilettes, au bureau ou dans une voiture. Si letemps et l’opportunité se présentaient, il pouvait même me sauter.J'adorais que cela fut furtif, torride ou scabreux. Le dangerm'excitait. Nombre d'amants époustouflés de ma ...
    ... témérité voulaientsouvent y revenir. On ne s'ennuyait jamais avec moi. Cela relevait dusport et de la haute voltige. Une réputation me précédait ce dont je meflattais.Dans le vaste immeuble où j'exerçais j'en vins bientôt à me trouver encompétition avec trois, quatre autres salopes. Nous ne tenions decomptabilité mais je pouvais me targuer qu'une centaine d'employésavaient obtenu ici mes faveurs. Mes rivales n'en revendiquaient pasmoins. Nous savions que les types nous gratifiaient de notes et nousincluaient dans une sorte de bourse des salopes. Ma valeur demeurait jepense assez haute. Dès le matin Je songeais au premier regard ou aupremier mot gentil qui me serait prodigué par un mâle.Il advint que ce put être le mignon chauffeur Uber qui me venait quérirà la porte de chez moi. Après un bref regard et sourire, uneconversation s'engageait. Le type sans vergogne reluquait mes cuisses.Voyant que je ne m'en offusquais guère, il poussait plus loin.J'écartais à un moment mes cuisses afin qu'il vit la culotte et que jeportais des bas. Je lui faisais observer que j’avais un peu de tempsdevant moi. Alors il se garait dans un coin décent où je pus le sucer.De plus hardis me sautaient sur leur banquette. Cela préludait à unebonne journée.Peu après il me fallait aller voir le patron tout au haut de l’immeuble.Hâtivement je me maquillais et me refaisait une beauté. Était-ce sinécessaire dans la mesure où je serais vouée vraisemblablement à uneautre saillie. En effet le boss, ancien ami et ...
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