1. Promo


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Anal Mature,

    ... ne dédaignais pas d'adopter des fois un lookde pute.L'exemple de pas mal de copines me conforta dans mes choix. Nousréparions une forme d'injustice. Il était bien temps de nous amuser etde débaucher dans nos bras de jeunes gars. De toute façon les mâles seréjouissaient que nous fûmes à la fois bonnes baiseuses et copines. Finiles récriminations d'épouses mal baisées. Nous étions passées à lacontre-offensive et nous nous en sentions que mieux. J'en étais à cestade d’excellence quand j'en vins à réaliser une sorte d'exploit. Il yavait un patio où nous allions fumer en paria. Ce jour-là je fusdévisagé par un courtaud dont je vis qu'il portait de façon comique unemoumoute. Je ne pus réprimer de sourire.L'imbécile et le coquin en profita pour m'adresser la parole. Il avaitun accent à couper au couteau. Je sus après que ce monsieur étaitroumain. C'était un gros client. Un type plein aux as. Il était fringuécomme un guignol. Il avait un peu le ridicule du parvenu. Il faisaitpitié. A part que je lui avais tapé dans l’œil. Il s'en était ouvert àla secrétaire du patron. Elle m'en parla. Il m'avait repéré dans lecouloir. Mes longues jambes, ma mini et mes bottes l'avaient ébloui.Cela ne me faisait ni chaud ni froid. Faire bander le cochon c'était monlot.Le hic est que l'imbécile menaçait de nous filer entre les pattes. Ilétait âpre à la négociation. Le patron se représentant le stylelibidineux du gus, lui avait dépêché deux jours de suite des call-girlsde première valeur. Cela avait ...
    ... fait chou blanc. Ils les avaient sautécomme on déguste un bonbon. Monsieur ne daignait pas cependant deconcéder du terrain. La concurrence pressait. Il allait passer àl'ennemi. Aussi le boss eût comme éclair de génie quand on lui rapportamon épisode. Je pouvais tout dénouer. J'étais peut-être la clef et lemantra.Aussi ne fus-je pas peu étonné un matin que le patron au lieu de mesortir sa queue entreprit avec gravité d'évoquer son roumain. Ce cochondepuis m'était sorti de la tête. Je mis du temps à comprendre qu'on meparlait de lui. On ne me demandait pas autre chose que de coucher et dele faire signer. Rien que d'ordinaire pourtant. J'ai déjà dit que jebaisais utile. Seulement on m'imposait cela avec brutalité et avec unemanière impérieuse qui me révulsait. C 'était la seule fois que j'eus lesentiment qu'on me prostituait d'autant que tout le monde savait.Ainsi fus-je partagée un seul jour entre le dépit, la honte et l'autresentiment de devoir secourir ma broîte et tous ses employés. Je n'eus pasà trop hésiter. Je suis une patriote. J'ai la fibre altruiste. Jecompris que je devais me sacrifier d'autant que j'étais assurée d'unesubstantielle rétribution. Je n'en baissais pas moins la tête durant cesjours avant l'opération quand je croisais nombre de visages narquois. Defausses copines en rajoutèrent prétextant que pour tout l'or du mondeelles ne coucheraient pas avec un pareil type.Le curieux est que l'hostilité et l'adversité me galvanisèrent. Je memis dans la tête de subjuguer ...