1. Promo


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Anal Mature,

    ... et de faire signer n'importe quoi à cetostrogoth. J'allais apporter une preuve éclatante de mon savoir faire etde mon talent. Ce qui me motiva au bout du compte fut le pessimisme dupatron. Il ne me cacha pas que là où avaient échoué deux de nosmeilleures professionnelles, je ne pourrais réussir. Ce roumain était unretors, un coriace. Je vins à me représenter son regard sur moi dans lepatio. Il n'y avait pas à douter. Je l'aurais bien en main.J'eus carte blanche. J'eus l’idée d'un simple scénario. J'obtins qu'ilvint dans mon bureau au prétexte que je remplaçais la collègue quidevait lui soumettre une nouvelle maquette. A dessein j’avais affichéune vue de Bucarest. Le procédé était j'en conviens des plus grossiers.Il n'en tomba pas moins dans le panneau. Je pense que ce type subjuguéaurait tout accepté de moi. Il trouva formidable la coïncidence quej'eus il y a deux ans voyagé en Roumanie. La veille j’avais potassé leguide du routard. Bref nous passâmes l'heure à parler du pays.Je croisais haut mes cuisses. J'envoyais de forts signaux de monintérêt. Nous finîmes sur le même patio à papoter clope au bec. Monpatron eût l'écho que j'avais une heure durant maintenu le roumain dansmon bureau. Il exultait n'osant trop y croire. Pour le soir même j'étaisinvitée à dîner à une des meilleures tables de Paris. J'étais mélangéequant à ce type. Il mariait la balourdise à une certaine finesse. Je nesavais s'il jouait. Il est vraisemblable qu'il voulait me sauter à toutprix quoique cela ...
    ... lui coûtât. A cet égard il me dit que lui importaitpeu le projet. Il avait voulu en fait embêter mon patron.L'idée alors m'effleura que je pourrais utiliser ce balourd à mes fins.Je lui représentais que je pourrissais depuis trop longtemps à un postesubalterne. Je lui demandais en un clignement d’œil qu'il intervint pourque je pus accéder à tel ou tel emploi. Mon cher roumain comprit qu'ilobtiendrait à partir de là tout de moi. Il me reversa du champagne. Ilme prit la main. Nous étions à ce moment-là ivres. En cet état n’importequel mâle peut me lever. J'ai alors une envie forcenée de queues. Ceroumain ferait l'affaire. Un serveur lui confirma qu'une chambre étaitlà-haut réservée.En effet dessus nos têtes l'établissement faisait hôtel. Dansl'ascenseur sa main glissa sous la robe. Mon string livrait un cul qu'iltripota sans ménagement. J'étais toute trempée. Aussitôt dans la chambreil me troussa et m'enfila par-derrière hurlant des choses roumaines queje perçus comme de sacrées insanités. Il me bourrait à fond le cul. Jegoûtais autant d'indélicatesse. Quand je suis tout excitée je nesupporte pas un autre traitement. Le bougre était monté tel un âne. Saqueue fut néanmoins avalée. Je voulais qu'il vantât partout mon talentde suceuse.Il n'était pas prévu que nous passâmes la nuit ensemble. De toute façonmon mari avait l'habitude que je découcha avec un amant. Et puis c'étaitpour une bonne cause. Monsieur ne serait pas mécontent de monavancement. Ainsi le roumain put se délecter ...