1. Je serai la femme d'un homme riche...


    Datte: 13/08/2017, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Masturbation pénétratio, policier, aventure,

    ... le lendemain, prétextant auprès de son mari qu’elle s’ennuie dans sa grande demeure et qu’elle a une subite envie de venir en aide à ces pauvres animaux malheureux, elle se rend à la clinique du bon docteur Rossi. Luc, quant à lui, est aux anges. Pour la première fois depuis qu’il la connaît, Sophie semble penser à autre chose qu’à dépenser du fric et, même s’il peut de nouveau tout à fait subvenir à ses besoins – aussi pantagruéliques soient-ils – le fait qu’elle en gagne un peu elle-même risque de lui faire envisager l’argent d’une manière différente. Voilà deux bonnes raisons de la laisser faire ce qu’elle veut ; aussi est-il plutôt heureux quand il la voit s’éloigner, sans se douter un seul instant de la tournure des événements à venir. —ooo0ooo— Si Luc n’a aucune idée de ce qui l’attend, il en est une qui ne s’imagine pas non plus ce qui va lui arriver. À peine est-elle entrée dans le bureau du docteur Rossi qu’il l’interpelle : — Je ne sais pas au juste ce que vous recherchez, mais sachez que vous devrez faire exactement ce que je vous demande si vous voulez que je réponde favorablement à votre demande. Silencieuse, assez surprise par le ton employé, Sophie hoche la tête. — Pour commencer, sachez que votre jupe est trop longue… La jupe qu’elle porte ce jour-là lui arrive pourtant nettement au-dessus du genou. — D’autre part, j’ai horreur des jambes nues, et vous veillerez à être toujours accessible lorsque je vous le demanderai. Le ton est cassant, autoritaire, et ne ...
    ... supporte aucune discussion. Sophie, éberluée, acquiesce de la tête. — Rentrez chez vous, faites ce que je vous ai dit et revenez vers quatorze heures. Vous serez officiellement mon assistante ; maintenant, sortez. Tandis qu’elle remonte dans sa voiture, Sophie se rend compte qu’elle n’a pas prononcé un seul mot et qu’elle semble s’être trompée lourdement sur la sorte d’homme qu’est le docteur Rossi. Cependant, elle n’envisage pas un seul instant de ne pas venir l’après-midi comme la logique le voudrait pourtant, d’autant qu’alors que sa jupe remonte au fur et à mesure du passage des vitesses, elle remarque à sa grande surprise qu’une trace d’humidité vient de marquer nettement l’entrejambe de son string. Deux choses qu’elle n’avait pas prévues et qu’elle n’a jamais rencontrées viennent de se produire, et elle brûle de savoir jusqu’où cela la conduira. Deux heures pile sonnent au beffroi de la ville lorsqu’elle franchit le seuil du bureau où le docteur l’attend. Sans un mot, il lui fait signe de déposer son imperméable sur la patère à côté de la porte d’entrée. Comme le praticien le lui a demandé, Sophie porte cet après-midi-là une jupe écossaise, l’une des plus courtes qu’elle possède, si courte que l’on peut clairement apercevoir la bordure de dentelle de ses bas noirs à la lisière de son kilt. Pour le haut, elle a opté pour un chemiser de tulle noir qui laisse apparaître deux seins de belle taille, aux pointes déjà dardées par le désir. Elle n’a alors que vingt-quatre ans, ...
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