1. Je serai la femme d'un homme riche...


    Datte: 13/08/2017, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Masturbation pénétratio, policier, aventure,

    ... n’a pour ainsi dire jamais porté de soutien-gorge et, malgré ses deux maternités, sa poitrine n’a peut-être jamais été aussi ferme que maintenant. — Je vois que vous m’avez obéi, c’est bien. Mais êtes-vous vraiment prête à faire tout ce que je vous demanderai ? Sophie hoche la tête. — Dans ce cas, asseyez-vous sur la table d’examen, face à moi. Notre blonde tourne la tête. Derrière elle se trouve une longue table recouverte de skaï crème, utilisée pour les consultations des animaux, et qui a servi pas plus tard que la veille pour les vaccinations du petit chat de Damien. — Mieux que ça ; face à moi. Et écartez les jambes : je veux voir ce que vous portez là-dessous. Même si elle n’a jamais été un modèle de pudeur, Sophie sent le rouge lui monter au front. Elle s’exécute cependant, prenant même le soin d’aller à la rencontre des demandes de l’homme en posant ses pieds sur la barre qui se trouve sous la table. Il ne peut retenir un petit sifflement d’admiration. — Une vraie blonde, en plus ! Sachez simplement que, comme vous vous en doutez, je vous interdis formellement de porter quoi que ce soit sous votre jupe chaque fois que vous viendrez travailler ici, et que c’est un motif de renvoi. J’attends de vous un dévouement sans bornes ; sachez qu’il y a d’autres filles que vous qui attendent la place. Lorsque, la veille, elle a griffonné le petit bout de papier à l’adresse du docteur, Sophie savait très exactement où elle voulait en venir et ce qu’elle voulait faire. Mais là, ...
    ... elle sent que les choses lui échappent ; il est très probable qu’elle ne va pas parvenir à ce qu’elle veut, ce à quoi s’ajoute le fait que le comportement de l’homme l’horripile plus que tout. Mais, au fond d’elle-même, quelque chose la pousse à accepter ces exigences, tandis qu’elle sent – bien malgré elle – son entrecuisse s’humidifier abondamment. Il le remarque immédiatement. — Vous mouillez, ma chère : c’est donc que cela vous plaît, indiscutablement. Puisque c’est ainsi, caressez-vous ; je sais que vous en mourez d’envie. Sophie croit ne pas avoir compris la demande de l’homme. Devant son air éberlué, il ajoute : — Tu as très bien compris, salope. Branle-toi devant moi, ou casse-toi. Chaque partie de son cerveau, même la plus infime, lui ordonne de gifler à ce moment précis l’ignoble individu qui lui fait face et de déguerpir le plus vite possible, mais pourtant elle ne bronche pas. Au contraire, presque malgré sa propre volonté, elle sent sa main descendre doucement jusqu’à son sexe aux lèvres déjà bien entrouvertes, tandis que le doigt qu’elle vient de porter à l’orée de sa caverne intime lui dévoile combien sa liqueur de femme a déjà pris possession des lieux. Le bout du majeur s’insinue à l’orée de sa chatte et, malgré la gêne et la rage qu’elle ressent, tout son corps s’arc-boute déjà sous la caresse. Puis ses doigts remontent doucement, jouent quelques instants dans les rares poils de son pubis avant de redescendre à la recherche de son clitoris. Le petit bourgeon, ...
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