Cauchemar ou presque… (5)
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pas comment tout ceci allait se régler. Je ne voyais tout de même aucun dénouement joyeux pour moi. C’était peut- être la dernière nuit dans cette maison. Je voulais m’endormir mais quand Pierre est venu se coucher j’étais toujours éveillée. Je n’ai pas bougée, j’ai fait semblant de dormir et pour la première fois depuis bien longtemps Pierre s’est penché vers moi pour embrasser mon épaule avant de s’endormir. J’étais perdue, complètement perdue. Samedi soir, les Bonerands sont venu passer la soirée à la maison. Marie, Bernard et Isabelle, tous les trois sont enchantés de partager cette soirée avec nous. Marie et moi avons passé un long moment sur la terrasse à profiter des derniers rayons de soleil. Quand l’air devient un peu trop frais, nous rentrons et je reste plantée là. Mon fils debout derrière le fauteuil balance ses hanches d’avant en arrière, savourant la fellation qu’on lui prodigue. Je fais lentement le tour de la table basse et pendant que je me dirige derrière mon fils je vois son père avaler son sexe de jeune garçon. Difficile d’expliquer ce qu’une mère peut ressentir en découvrant son mari sucer goulument le sexe de son fils. J’étais médusée, excitée, attendrie, un peu effrayée aussi, mal à l’aise. Mon fils tel le petit homme qu’il devient à ses mains dans les cheveux frisés de son père et lui intime la cadence de la caresse buccale. Marie s’approche de moi et passe sa main autour de mes hanches. Sa main, un peu fraîche fait frissonner ma peau nue. Elle ne ...
... s’attarde pas longtemps sur mon fils et son père. Son regard est rivé sur son mari qui lentement enfonce son membre tendu dans les fesses de Pierre. Elle semble tout aussi touchée que moi par ce spectacle. Nous restons là, nue, l’une contre l’autre pendant que les trois hommes de nos vies s’ébattent sous nos yeux. Pas que nos yeux d’ailleurs. Isabelle, elle non plus, ne perd pas une miette de la scène. Assise sur le canapé, les jambes bien écartées, elle frotte son petit conin rougit par tant d’attention et d’excitation. Elle a même son majeur fiché dans son petit derrière, la garce. Justin la fixe pendant que son père avale tout son sexe dans sa bouche. Mon fils m’invite à prendre place son mon mari et me voilà, échangeant un 69 avec l’homme que j’ai juré de chérir toute ma vie, le symbole de la virilité pour moi, son épouse. Je suce la queue de Pierre, la lèche. Je remonte tout le long de sa hampe pour venir glisser sur la verge de Bernard qui s’enfonce de plus en plus fort dans l’anus de Pierre. Mon fils a rejoint son père, à quatre pattes entre mes jambes pour couvrir toute mon intimité de leurs langues fébriles. Marie s’approche de son époux, le caresse et le détourne de Pierre. Il grogne quand ce gros pénis se retire de ses fesses. Je suce ce pénis qui m’a tellement manqué. Je parcours chaque parcelle de l’entrejambe de mon mari. J’attendais ce moment depuis si longtemps et ne peut retenir un petit ricanement en me disant qu’il faut que ce soit sous le regard de nos amis ...