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Cauchemar ou presque… (5)
Datte: 24/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou
... que ça arrive. Pierre et moi roulons. Je fouille chaque centimètre carré de son intimité de ma langue, de mes lèvres. Son sexe butte contre le fond de ma gorge et je l’entends gémir de retrouver ainsi l’emprisonnement de mes lèvres. Je gémis à mon tour, redressée, tendue, quand mon fils enfonce son majeur et son index dans mes fesses alors que son père agite son majeur dans mon vagin. Du coin de l’œil je vois Bernard assis sur notre canapé et Isabelle, à califourchon sur son père, descendre lentement pour que sa mère guide l’énorme pénis à l’entrée de son conin d’enfant. Je reste à regarder cette gamine s’empaler sur le sexe dressé de son papa et ne remarque pas vraiment que Pierre change de position sous moi. Mon mari attire mon visage entre ses mains et m’embrasse longuement pendant que son fils, imitant Marie, guide son pénis dans mon vagin détrempé. Mon fils, notre fils, notre fils chéri, caresse les testicules de son père pendant que je m’empale lentement sur son membre. Isabelle et moi suivons le même rythme, accélérant peu à peu nos va et vient. Alors que Marie s’est redressée pour caresser les petits seins de son enfant, mon mari attrape mes hanches pour ralentir notre cadence. Je commence à croire qu’il a peur de venir trop vite quand je sens un liquide frais couler entre mes fesses. Je tourne mon visage mais mon mari me rattrape et m’embrasse fougueusement pendant que les doigts de Justin étale le gel sur mon anus puis dedans. Quand c’est son pénis qui pousse ...
... contre la corolle froncée de mon anus, je souffle longuement. Mon mari ne bouge plus, il laisse son fils le rejoindre dans le corps de sa mère. Je crie, je hurle presque. Les deux hommes de ma vie vont et viennent profondément en moi. Il m’a fallu un petit moment pour m’habituer à cette intrusion dans mes deux orifices. Mais maintenant que les deux coulissent sans plus de retenue, je ne suis plus qu’une poupée de chiffon secouée en tout sens par leurs assauts frénétiques. Seules les plaintes aiguës d’Isabelle couvrent mes propres paroles. Je les invectives tous les deux. Je les veux plus profond en moi, plus forts, plus fermes. Quand Isabelle se tétanise connaissant son premier orgasme par un homme adulte je vois sa mère pleurer. Elle encourage son mari qui avec l’agrément de sa fille se lève. La mère allonge sa fille et vient plaquer sa bouche contre sa fentine alors que Bernard nous rejoint, son membre tout aussi dur que lorsqu’il s’est retiré de mon mari. Je comprends ce qu’ils souhaitent et embouche ce sexe dès qu’il est à ma portée. Un pénis dans chacun de mes orifices il ne me faudra que peu de temps pour être ravagée par un orgasme merveilleux. Justin a éjaculé dans mes intestins mais il lui faudra peu de temps pour faire subir à Marie le même sort que le mien. C’est Isabelle par la suite qui subira les assauts de mon fils et de son père combinés. La nuit est longue. Longue et pleine de nouvelles expériences. Dire que depuis un an mon mari assouvissait ce qu’il pensait être ...