1. Un peu de réconfort


    Datte: 24/01/2019, Catégories: ffh, Collègues / Travail fépilée, Oral fsodo,

    ... mieux.— Quand même, je me suis fait tomber dessus au bureau aujourd’hui et je n’ai pas vraiment le moral, je ne sais même pas si je vais retourner au bureau.— Voyons, qu’est-ce que tu dis là, tu sais que la présidente est un peu folle, qu’est-ce serait sans toi.— Sûrement mieux, on pourrait sûrement me remplacer par quelqu’un d’autre et personne ne me regretterait.— Si, moi, je te regretterais. Les journées ne seraient pas pareilles sans ta présence. Ton parfum qui flotte dans le bureau, ta beauté, je ne me lasse pas de te regarder.— Tu dis ça, mais dans le fond tu ne t’intéresses pas vraiment à moi, je suis seule depuis plusieurs mois et tu n’as pas levé le petit doigt pour ne serais-ce que me voir un peu plus.— Pourtant, je pense souvent à toi… je fantasme sur toi.— Ah oui ? T’es sérieux— Oui, oui, mais tu sais moi aussi avec le boulot, je n’ai pas vraiment le temps.— Voyons voir si tu as un peu de temps ce soir…. Sur ces mots, elle recula encore un peu, fit glisser la ceinture qui tenait son peignoir et, lentement, le fit glisser jusqu’au sol. — J’ai peut-être une idée ou deux pour que je me sente un peu mieux. Elle était là, à quelques pas devant moi, complètement nue. J’avais devant les yeux la vision d’un ange ou, du moins, de ce qui s’en rapproche le plus sur cette terre. Jamais je ne pourrais oublier la beauté de cette femme : une peau bien bronzée et ce, partout, partout, partout, des seins de proportions plus que respectables, bien droits avec des mamelons ...
    ... imposants, tétons pointus, un ventre plat avec, dans son petit nombril, un diamant rehaussant sa beauté puis, un peu plus bas, un pubis exempt de tout poil. Mon regard demeurait figé sur cet endroit charmant tout au sommet de ces longues jambes. Carole était en effet une grande femme. J’avais déjà, à quelques occasions, imaginé le corps de Carole, mais de le voir, là, devant moi, disons que ça allait au-delà de mes espérances. — Dis, je me sens un peu mal à l’aise, là, toute nue devant toi. Est-ce que je m’habille à nouveau ou est-ce que tu enlèves tes vêtements ? Elle avait dit ça avec un petit sourire coquin qui lui allait beaucoup mieux que les larmes de tout à l’heure. Je ne le fis pas dire deux fois, j’enlevai prestement mes vêtements et, alors qu’il ne me restait qu’un boxer, je lui dis : — Tu veux bien m’aider un peu ? Elle s’approcha alors, me donna un tout petit baiser puis, en se penchant et en glissant les mains le long de mon corps, elle m’enleva le vêtement gênant. Elle était maintenant accroupie devant moi, en levant les yeux vers moi, elle prit ma verge, d’abord dans ses mains puis dans sa bouche. Je sentais la chaleur de sa langue sur mon sexe qui se tendait de plus en plus. Délicatement, elle commença à me branler tout en continuant de me lécher. De sa main libre, elle me massait les fesses puis elle passa aux couilles qu’elle soupesa doucement. J’étais dans un état second. J’étais venu pour la réconforter et je me retrouvais avec mon sexe dans la chaleur de sa ...
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