-
Un peu de réconfort
Datte: 24/01/2019, Catégories: ffh, Collègues / Travail fépilée, Oral fsodo,
... je retirais lentement ma queue de son rectum jusqu’au gland puis je m’enfonçais à nouveau en elle. Mes mouvements prenaient de la vigueur et de la vitesse. Même si j’avais déchargé peu de temps avant, je savais que je ne tiendrais pas longtemps, ma queue était si serrée que cela devenait critique. Lorsque je sentis que je pourrais plus retenir ma jouissance, je pris l’initiative de la lâcher d’une main afin d’aller poser mon doigt sur son clitoris. Je la sentis jouir au même moment où je lâchais ma semence dans le condom. La quantité était beaucoup moindre que tantôt, mais la jouissance était la même. Nous nous enlaçâmes à nouveau. Finalement, je restai à dîner avec elle et je restai aussi tout le week-end. Carole prit le temps de m’aguicher avec sa lingerie féminine et, à chaque fois que ma queue avait le malheur (ou le bonheur) d’avoir un regain de vie, Carole s’assurait de me vider les couilles de toutes les manières possibles… fellations, branlettes, séances de baise. Je la quittai, vide, mais heureux dimanche soir. Le lundi matin, sans que rien n’y paraisse, nous nous retrouvâmes au bureau. Un coup d’œil complice avec ma secrétaire fut le simple geste posé de ce week-end mémorable. Par contre, lors de la pause, alors que d’autres collègues étaient réunis près de la machine à café, l’un deux dit d’un ton nonchalant : — Eh ben dis donc, c’est un week-end de cul que nous avons eu ! (expression québécoise faisant référence à toute la pluie qui était tombée le samedi et le dimanche.) Ginette et Carole éclatèrent de rire au même moment tandis que je faillis m’étouffer avec mon café chaud !