Un peu de réconfort
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
fépilée,
Oral
fsodo,
... bouche, le bonheur ! Pendant ce temps, je lui caressais les cheveux et j’appréciais le traitement. Sentant que cela devenait vraiment très chaud pour moi, elle interrompit ses caresses, elle se releva et me fit signe de la suivre vers sa chambre. J’avais devant moi ses jolies fesses qui se déhanchaient devant moi. Une fois arrivés dans la chambre, elle me fit asseoir sur un fauteuil au pied de son lit. Elle s’installa sur le bord du lit, écarta ses jambes afin que j’aie une vue directe sur son pubis sans poil. Avec une main, elle écarta ses lèvres et inséra en elle l’index de son autre main. Après quelques caresses, elle le ressortit afin de me montrer à quel point elle était mouillée. Elle l’approcha de ma bouche et je le léchai avec envie. Elle reprit son petit manège à quelques reprises et, à chaque fois, elle me faisait goûter et lécher son doigt. L’instant était d’une sensualité difficile à décrire. Mes yeux ne la quittaient pas, j’appréciais chaque instant. Elle y allait maintenant de façon plus active et se masturbait allègrement devant moi. Ses yeux se fermèrent et elle fut secouée par un premier orgasme, elle n’avait pas crié, mais plutôt émis une longue plainte. Lentement, elle reprit ses esprits, elle me souriait. Elle se leva, fit un pas et, tout en tenant mes épaules elle glissa ses jambes de chaque côté du fauteuil, ses cuisses étaient là tout contre les miennes, je pouvais sentir sa peau douce et soyeuse. Mon sexe était érigé, bien droit, fébrile à l’idée ...
... de ce qui allait se passer bientôt. Elle l’empoigna d’une main afin de le diriger vers sa chatte encore tout humide. Lentement, elle se penchait vers moi. Je me sentais comme un astronaute de la navette alors qu’il s’apprête à faire l’arrimage avec la station spatiale. 5, 4, 3, 2… à cet instant où il n’y avait qu’un infime espace entre nos deux sexes, alors que ma queue palpitait dans sa main en attente de cette douce pénétration qui approchait. Eh bien, la sonnette de la porte se fit entendre. Tous deux, nous nous figèrent. Pendant un instant, rien. Puis une nouvelle sonnerie, plus insistante cette fois-ci. C’est avec regret, encore plus pour moi que pour elle je pense, que Carole se leva et se dirigea à l’extérieur de la chambre en me disant de ne pas bouger, qu’elle allait se débarrasser rapidement de l’importun intrus. Elle remit sûrement son peignoir avant d’atteindre la porte. Quant à moi, tous mes vêtements étaient restés par terre près de l’entrée, je restai donc là, bandé bien dur, à l’affût et en attente. J’entendis des petits rires au loin, la porte se referma et, doux son à mon oreille, les pas de Carole qui revenaient. Je sus alors que j’allais reprendre le chemin qui me mènerait à la délivrance. Carole entra dans la chambre tout en enlevant son peignoir, mais, à mon grand désarroi, elle n’était pas seule ! — Bonjour patron, me dit Ginette, ma secrétaire. En déplaçant un peu son regard, elle ajouta : — Vous avez l’air tendu ! J’étais pour le moins fort surpris. ...