Un peu de réconfort
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
fépilée,
Oral
fsodo,
... le bas de son ventre et j’attaquais son clitoris. Elle y allait de plus en plus à fond de train, elle était comme une cavalière sur son cheval. Je n’en pouvais plus. Elle le sentit et, sans ralentir ses mouvements, elle mit une main sur mes couilles afin de les masser. C’en était trop. Le plaisir déferla sur moi et des jets de sperme allèrent se déposer dans son vagin. Carole jouissait elle aussi encore une fois. Une jouissance quasi animale, elle criait son plaisir et j’étais fier du résultat obtenu. Après que les vagues de sensations eurent cessé dans nos corps, nous restâmes étendus, elle sur moi pendant de longues minutes en se contentant de s’offrir de petites caresses et de petits baisers. Je sortais d’elle lentement tout en sentant le mélange de nos liquides corporels glisser sur le haut de ma cuisse. Nous nous levâmes pour prendre une douche ensemble. Nous étions comme des enfants jouant sous l’eau, nous nous lavions mutuellement en riant et en nous taquinant. Elle sortit la première afin de s’essuyer puis j’en fis de même. En la voyant à nouveau là devant moi, nue, avec ses fesses invitantes, je sentis un nouvel élan de vigueur me traverser. Je me penchai, je dégouttais encore de l’eau de la douche puis je pris ses fesses dans mes mains et les écartai, j’avais alors bien en vue son joli petit rectum, bien blanc et bien propre. Carole s’était penchée sur le rebord du comptoir. Un de mes doigts partit à la découverte de cet endroit que je n’avais pas encore exploré ...
... sur le corps de Carole. En même temps, je lui embrassais les fesses et je les léchais avec envie. Carole devina mes intentions. — Jacques, non Jacques, je ne pense pas que ce serait une bonne idée de m’enculer.— Pourquoi pas, laisse-toi faire. J’arrête si cela ne te plaît pas.— Je ne sais pas, je pense que ta queue va me faire mal. Habituellement, je n’aime pas vraiment cela.— Habituellement ? Alors tu es une habituée, allez, laisse-toi faire un peu. Elle se releva un peu, chercha dans l’armoire de la pharmacie et me tendit, avec un peu d’angoisse un pot de K-y et un condom. Décidément, une femme qui garde des condoms en réserve et de la gelée est vraiment une femme prévoyante. Je pris soin d’enfiler le condom, j’étais tout à fait bandé à ce moment, puis j’étendis de la gelée sur mon pénis et, finalement, j’insérai lentement mon index dans son rectum avec une bonne quantité de gelée. Carole reprit sa position initiale, penchée sur le bord du comptoir. Je dirigeai mon sexe dans son petit rectum. Je la pénétrais délicatement, lorsque ses gémissements se transformaient en petits cris de douleur, j’arrêtais, je ressortais un peu et je recommençais ma pénétration. Centimètre par centimètre, je m’enfonçais de plus en plus en elle jusqu’au point où mon pénis était complètement introduit. Il n’y avait plus de petits cris de douleur de sa part, mais simplement de longs et de petits gémissements. Je la tenais fermement par les hanches et je commençai alors des mouvements de va-et-vient, ...