1. La correspondante asiate de Marie (3)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... bondissant sur sa proie. Puis il l’allongea sur le sofa et glissa sa tête sous sa jupe plissée pour la lécher à travers la dentelle blanche de son string. Samaryl écarta les jambes et bascula la tête en arrière. Ses cheveux tombaient jusque sur le tapis persan du salon et Jean-Edouard fut tout émoustillé de la voir aussi superbe dans cette position d’abandon total. D’autant qu’elle portait encore ses sandales à talons. Quand il s’interrompit pour la contempler en songeant sérieusement à la photographier, elle en profita pour se relever et enlever son tout petit slip gluant desalive et de mouille. Elle le roula en boule et le cacha au fond de son sac de cours parmi ses livres de français et d’économie. Puis elle se retourna, troussa sa courte jupe et tendit ses fesses pendant que Jean-Edouard se déculottait, bien décidé à la saillir comme un sauvage. Mais alors qu’il allait la pénétrer, le téléphone sonna. A l’étage, Marie hurla à son frère de décrocher. Paniqué, le garçon remonta son pantalon et se précipita sur le combiné. Une voix de familière résonna dans son oreille : — Alloooo ? Mamie Madeleine ! Hors de question de l’envoyer bouler. La vieille femme adorait son petit-fils et était toujours ravie de pouvoir lui parler. Et cela faisait si longtemps ! Elle le bombarda de questions à propos de ses activités estivales et de « la petite correspondante de Marie », le tout de sa voix traînante et enrouée de vieille mémé à moitié sourde : — Elle est gentille ? Elle est ...
    ... jolie ? Oui Mamie ! Elle est justement en train de remettre son string : tu verrais le popotin que ça lui fait ! Un de ces culs qui me donnerait envie d’aller à la Messe avec toi pour louer le Seigneur ! Alléluia Mamie ! On allait baiser tu sais ! — Elle est musulmane me disait ta mère ? Elle porte le voile ? Elle porte même le niqab Mamie, mais un drôle de modèle qui lui arrive à ras-le-bonbon et qui donne justement super envie... de la niqab ! Et à propos du bonbon que je viens de mentionner : j’ai un goût de confiserie dans la bouche, mais c’est autre chose que du macaron ! — Qu’est-ce que tu dis Jean-Edouard ? Je ne t’entends pas ! Parle plus fort voyons ! Tu sais bien que ta Mamie n’entend plus ! * La veille de l’anniversaire de Samaryl, les deux amoureux annoncèrent au reste de la famille qu’ils passeraient la journée du lendemain à se promener ensemble. Mme Ghuilemins eût toutes les peines du monde à dissimuler la joie qu’elle éprouva en entendant cette nouvelle. Elle avait remarqué que depuis le début des cours particuliers, les deux jeunes gens paraissaient plus proches. Jean-Edouard n’avait plus son perpétuel air maussade et semblait plus sûr de lui. Mieux, il plaisantait avec la belle Indonésienne, lui souriait tendrement et prolongeait volontiers ses leçons au-delà du temps imparti. Mais jusqu’à présent, elle n’avait pas osé croire que cette attirance mutuelle se concrétiserait. La timidité de Jean-Edouard constituait un tel obstacle ! Quand elle entendit son frère ...
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