1. La correspondante asiate de Marie (3)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Hétéro

    Jean-Edouard fut réveillé par la voix de sa sœur dans la cour du manoir : — On arrive Sandra ! On part ! On sera chez toi avant midi ! Elle braillait dans son téléphone parce qu’elle savait que son frère détestait les éclats de voix et le bruit en général et qu’elle adorait l’emmerder. Le garçon bondit hors de son lit et se précipita à la fenêtre en prenant bien soin de ne pas être vu, d’autant qu’il était nu jusqu’à la taille et que son sexe pendouillait entre ses cuisses comme un gros ver. Il voulait apercevoir Samaryl avant son départ, pour se convaincre qu’il n’avait pas rêvé, qu’elle était réelle. Et elle était là, aux côtés de Marie, attendant sagement la fin de la conversation, comme une jeune fille bien élevée. Lorsqu’elle se dirigea vers la Mini Cooper de sa correspondante, lejeune homme remarqua qu’elle boitait légèrement. Puis elle s’installa dans la voiture et sa robe à fleurs remonta très haut. Jean-Edouard songea avec amusement aux routiers dont elle ferait la joie sur l’autoroute en leur offrant une vue imprenable sur ses cuisses longilignes. Quelques instants plus tard, la bagnole rutilante franchissait le portail de la propriété dans un crissement de pneus. Jean-Edouard se sentait soulagé d’être enfin débarrassé du fardeau de sa virginité, mais il n’était pas euphorique pour autant. D’abord, sa prestation avait été plutôt pathétique et c’était bien le diable si sa partenaire ne s’était pas rendue compte qu’il s’agissait de sa première fois. Son numéro de « ...
    ... mec plus vieux sûr de lui » était bon à foutre aux ordures. Encore puceau à vingt-quatre ans : quelle honte ! Mais ce n’était pas cela qui le rendait particulièrement mélancolique, mais le fait que malgré les apparences le destin continuait de s’acharner : après tant d’années de branlettes minables, une bombe lui tombait dans ses bras. La nana idéale. Mais dans moins de trois semaines, Mademoiselle « parfaite » allait repartir à l’autre bout du globe et il ne la reverrait sans doute jamais. Le sourire magnifique que Samaryl lui adressa à son retour en fin d’après-midi soulagea miraculeusement son âme tourmentée. Le garçon eut envie de la serrer contre elle et de l’embrasser. Mais la présence de Marie l’en empêcha. Pendant la leçon de français, Jean-Edouard essaya de glisser ses mains sous la robe de son élève. Mais Samaryl ne voulait prendre aucun risque. Marie barbotait dans la piscine, mais si elle se mettait debout à l’extrémité du bassin pour plonger ou pour consulter son téléphone, elle pouvait voir à l’intérieur de la salle. De plus, Mme Ghuilemins allait arriver d’un instant à l’autre. Cependant, la jeune fille accepta de rendre visite à Jean-Edouard tard dans la nuit. Mais sans enlever son short et son tee-shirt : — Pas question de faire amour, mon pussy me faire trop mal ! C’est le feu ! Ce matin je ne pouvais pas marcher ! Jean-Edouard avait donc bien vu ! Et qui était le responsable de cette légère claudication ? Sa grosse pine ! Et cette fois, ce n’était pas une ...
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