1. La correspondante asiate de Marie (3)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... finissait toujours par demander grâce : — Dépêche-toi mon amour, je avoir trop mal ! chuchotait-elle entre deux halètements, bien avant d’avoir eu un orgasme. Mais ce manque de résistance faisait bien les affaires du jeune homme car celui-ci éprouvait des difficultés à se contrôler. Le garçon essayait de toutes ses forces de remédier à ce problème : pendant qu’il faisait l’amour à Samaryl, il pensait à d’autres choses : à des théorèmes de math., à des parties de jeux vidéos voire à des femmes qui le répugnaient... Mais dès que ses yeux se posaient à nouveau sur sa si jolie chérie, le plaisir le submergeait et il jouissait comme un dingue. — Désolé Samaryl, je croyais que tu voulais que j’arrête... prétendait-il en prenant un air navré. C’est trop bête : pour une fois que tu n’avais pas mal ! yzqykkla Samaryl lui confia un jour que le pénis de son ex-petit ami était à peine long comme un stylo : — Mais c’était bon quand même. Son sexe était bien dur. Et je n’avoir jamais mal ! Donc on pouvait le faire plein de fois de suite ! Et longtemps ! Elle prétendait n’avoir connu que deux garçons. Le premier au lycée : une étreinte sur une plage au terme d’une relation platonique de plusieurs années. Peur de tomber enceinte. Peur du châtiment divin. Certitude effrayante qu’elle allait payer d’une façon ou d’une autre : un accident ou la mort d’un de ses proches. Le second à l’université. Un garçon adorable. Etudiant en médecine. Doué. Fils de bonne famille. Trois ans de complicité ...
    ... avant qu’elle n’apprenne qu’il l’avait trompée avec une de ses meilleures amies. Elle l’avait chassé hors de sa vie à coups de bâton. Jean-Edouard avait du mal à se représenter la scène. Mais l’expression farouche qu’elle affichait en racontant cette histoire le persuadait qu’elle disait la vérité : — Sa tête saigne ! Son bras et ses joues aussi parce que je le griffe très fort ! Mais mon cœur saigne encore plus, alors c’est tant pis pour lui... En dehors de ces étreintes nocturnes, Jean-Edouard aimait à s’adonner aux plaisirs de l’amour furtif. A la moindre occasion, il se jetait sur Samaryl pour l’embrasser, la peloter ou trousser sa jupe. Mais la belle le repoussait presque toujours avec violence. Dans son pays, ce type de comportement était d’une grossièreté extrême voire inconcevable. L’idée d’être surprise à moitié nue la tétanisait. Elle avait déclaré sans rire que si ses hôtes la surprenaient en train de se faire tripoter, elle serait terrassée par la honte et obligée de faire ses valises le soir-même. Mais quand le garçon s’y prenait avec délicatesse et qu’elle était certaine que Marie était occupée et n’allait pas surgir à l’improviste, elle l’autorisait à prendre quelques libertés. Une dizaine de jours après leur premier baiser, le jeune couple fit quasiment l’amour sur le canapé de la salle. Les parents venaient de téléphoner qu’ils ne rentreraient pas pour dîner et Marie d’entrer dans la salle de bains à l’étage. Jean-Edouard sauta sur sa belle élève tel un fauve ...
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