Caresses et Suzy
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
voisins,
massage,
Oral
pénétratio,
occasion,
Suzy, ma voisine, vient de me téléphoner : elle a des ennuis de plomberie et sollicite mon aide. La cinquantaine, veuve et pas bricoleuse pour un sou, il est courant qu’elle appelle pour ce genre de services. Ma compagne et moi-même l’aidons volontiers, dans la mesure de nos possibilités. Mais depuis quelque temps, mon amie Isabelle se fait plus distante vis-à-vis de Suzy. En cause, des moments de plaisir - d’égarement selon ma compagne - que nous avons partagés ensemble, à trois. Aujourd’hui, Isabelle est partie faire les magasins avec une copine. Je me rends donc chez la voisine sans devoir croiser le regard soupçonneux de mon amie. La malchanceuse m’expose le problème : plus une goutte d’eau ne coule des robinets de la cuisine et de la salle de bain. Je vérifie rapidement les tuyauteries dans les deux pièces et ne remarque rien d’anormal. Je descends alors à la cave pour vérifier le point d’arrivée d’eau potable. Là, surpris, je découvre que la vanne principale a été fermée. Personne n’a accès à cet endroit, si ce n’est la seule habitante des lieux. Pourquoi diable a-t-elle coupé l’eau et ne m’a rien dit ? J’ouvre à nouveau le mécanisme puis remonte dans la cuisine. Personne. Je me dirige alors vers la salle de bain, en criant dans le couloir : — Suzy, pourquoi as-tu donc fermé la vanne de la cave ? Tu aurais pu me le dire, cela m’aurait évité de… Devant la porte restée ouverte, je reste sans voix, stupéfait : ma voisine m’attend, nue sous une tunique transparente, les ...
... cheveux serrés dans un bandeau et parée d’un long collier de perles. La vision, pour brutale qu’elle soit, n’en est pas moins agréable. Devant tant de charmes à peine voilés, mes mains curieuses s’avancent déjà. Mais Suzy me maintient à distance, le bras tendu à l’horizontale. Que veut-elle donc ? Elle s’assied sur le rebord de la baignoire, égrène les billes nacrées du collier et, le regard lointain, les paupières plissées, elle scrute l’horizon de ses souvenirs. — Pendant plus de vingt ans, j’ai eu un mari aimant et honnête, mais bien piètre au lit. Elle relève la tête, pose ses yeux brillants sur moi. — La première fois que tu m’as caressée, j’ai revécu des moments délicieux, des moments que j’avais connus avec un autre amant, avant mon mariage. Ces plaisirs, je veux encore les ressentir. C’est pour cela que je t’ai appelé. Elle se lève, commence à me déshabiller. Je me recule, un peu surpris, mais elle déboutonne rapidement ma chemise, la jette sur le côté, ouvre mon pantalon qu’elle ôte aussi prestement, m’enlève chaussures, chaussettes et caleçon. Je suis maintenant à poil et en érection, mais cette situation ne semble pas l’émouvoir outre mesure. Elle me tend un vêtement plié. — Tiens, enfile-moi ça. Je n’ai pas envie de te voir nu tout de suite. C’est une chemise de nuit pour homme. Mon défunt Georges ne portait que cela. Pure fantaisie ou vraie ringardise ? Encore aujourd’hui, je l’ignore…— Tu n’as pas peur que je te rappelle ton Georges, justement ? lui fis-je, pas ...